Images de la ligne
La ligne
Colombes-Gare—St Ouen prolongée jusqu'à la Porte de Clignancourt (ligne 66)
Km.
Marc André Dubout
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Quelques chiffres 10,5
Km. T.M.E.P.
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La ligne 66 a eu
une histoire bien avant de devenir la ligne Colombes-gare—St
Ouen. En effet elle faisait partie d'un projet de ligne qui partait de la gare
de Houilles la mairie de Saint Ouen et passant par la gare de Colombes où la
ligne traversée par la ligne St Lazare—Argenteuil de la
Compagnie des chemins de fer de l'Ouest ne fut jamais raccordée. Alors que le
premier tronçon fut vite abandonné (l'exploitation n'ayant duré que quelques
mois en 1902) la section Colombes-gare—St Ouen fut
exploitée par les Tramways de Paris et du département de la Seine (T.P.D.S.)et
devint ligne 66 sous l'administration de la Société des transports en Commun
de la région Parisienne (S.T.C.R.P.) en 1921.
Nous n'étudierons ici que cette époque, l'ancien projet se trouve dans le
chapitre des "Projets non réalisés" Houilles—St
Ouen.
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État
des Communes 1898, page 52. La Commune subventionne une ligne voiture de la
gare de Colombes à Gennevilliers ; il y a 15 départ par jour dans chaque sens.
La distance est des deux kilomètres et 500 mètres , le prix de 0, 25 Francs.
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
21 juillet 1904,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le 16 janvier 1905,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
14 mars 1907, Le Maire de Gennevilliers écrit au Préfet de la Seine pour
lui signaler que dans a séance du 26 décembre 1906, le Conseil général a
donné un avis favorable à la réorganisation du réseau de la Cie
des T.M.E.P. et notamment à la concession à cette Cie du
prolongement de Colombes—Pont de St Ouen jusqu'à la porte de Clignancourt.
Le 6 décembre, le Conseil municipal de Gennevilliers avait émis le vœu que
l'Administration supérieure autorisât la Cie des Tramways à
installer les rails du prolongement du tramway de Colombes—St Ouen vers la
porte de Clignancourt, dans la rue de Paris à St Ouen (chemin de grande
communication n°22) en même temps qu'on effectuait l'élargissement de cette
rue.
En rappelant ce vœu, il lui signale l'intérêt qu'il y aurait à autoriser la
Cie de tramways à installer de suite les voies nécessaires pour le
prolongement de la ligne Colombes—St Ouen jusqu'à la porte Clignancourt et de
commencer l'exploitation de ce prolongement sans attendre le décret de
concession qui ne sera peut-être pas promulgué avant une époque assez
éloignée.
Le nouvelle ligne du métropolitain partant de la Porte Clignancourt avec
laquelle doit correspondre le tramway ainsi prolongé doit être ouverte
jusqu'aux Halles à la fin de la présente année ; d'autre part, on doit
adjuger sous peu les travaux d'élargissement de la rue de Paris à St Ouen.
En installant les voies du tramway dans cette rue, en même temps qu'en
exécutant les travaux de la chaussée, on réaliserait une certaine économie
dans les dépenses ; et en procédant simultanément à la transformation de la
route et à l'établissement des voies du tramway, en diminuant beaucoup la
gêne et la perturbation qui seront nécessairement apportées dans la
circulation très intense de cette rue pendant l'exécution des travaux.
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
13 juin 1907, rapport de M. Roche sur le service des tramways.
Le Conseil municipal de Gennevilliers lors de l'enquête sur la réorganisation
les lignes de la Compagnies des T.M.E.P. avait émis différents vœux
concernant :
1. - la déviation par Villeneuve-la-Garenne de la ligne St Cloud—Pierrefitte,
2. - les tarifs plus en rapport aux intérêts de la Commune de la future ligne
Colombes—Porte de Clignancourt en liaison avec le métropolitain Nord-Sud
Le vœu présenté par le rapporteur concernant les tarifs ; scinder la ligne en
deux parties : de la porte Clignancourt au carrefour formé par l'avenue du pont
de St Ouen et l'avenue des grésillons et de ce point à la gare de Colombes et
chaque partie en deux sections :
1. - de la porte Clignancourt à la Mairie de St Ouen : 10 centimes
2. - de la Mairie de St Ouen à l'avenue des Grésillons : 10 c.
et pour le voyageur effectuant ce trajet 15 c.
3. - de l'avenue des Grésillons à la rue de Paris : 10 c.
4. - de la rue de Paris à à la gare de Colombes 10 c.
et pour le voyageur effectuant ce trajet 15 c. avec
augmentation de 05 c. par section en première, soit 30 c. classe pour le
voyageur partant de la gare de Colombes à la porte Clignancourt en 2ème
classe et 60 c. en 1ère classe.
il ressortirait donc que pour 25 c., un habitant de Gennevilliers se rendant à
la porte Clignancourt en 2ème classe couvert et fermé et de la pour
15 c. dans tout Paris par le métropolitain avec une rapidité inconnue avec les
tramways de Département de la Seine.
S'étant rendu au siège de la Compagnie au nom du Maire de Gennevilliers qui
lui en avait donné l'autorisation verbale afin de soutenir le vœu de la Mairie
le rapporteur a été reçu par le Directeur de la Compagnie à l'obligeance
duquel il se plait à renvoyer hommage.
Ils n'ont pu s'entendre complètement sur ces tarifs en chevauchement pour
différentes questions toutes techniques mais le Directeur lui a donné
l'assurance qu'il étudierait de la façon la plus sérieuse ce qui lui était
présenté reconnaissant lui-même que les tarifs présentés lors de l'enquête
ne répondaient pas aux intérêts des habitants et de la Compagnie.
En outre, la Compagnie ayant l'intention de demander à M. le Préfet de la
Seine un simple décret de voirie pour prolonger de suite la ligne Colombes—Porte
de St Ouen jusqu'à la porte Clignancourt, la rue de Paris à St Ouen ayant
été l'empêchement unique jusqu'à ce jour et cet élargissement avec
viabilité devra se faire très prochainement, il serait désireux que les
communes intéressées envoient une lettre à M. le Préfet de la Seine lui
rappelant le vœu émis pour le prolongement indiqué.
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municipales
de Gennevilliers
Année 1908
Le
6 janvier 1908,
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municipales
de Gennevilliers
Le
27 janvier 1908,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
27 janvier 1908,
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municipales
de Gennevilliers
Le
2 août 1910,
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municipales
de Gennevilliers
Le
17 septembre 1910,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
17 septembre 1910, 
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
17 septembre 1910,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
1er octobre 1910,
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municipales
de Gennevilliers
Le
15 8bre octobre 1910,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
28 octobre 1910,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
27 novembre 1910,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
27 novembre 1910,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
27 novembre 1910,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
27 novembre 1910,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
27 novembre 1910,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
8 décembre 1910,
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de Gennevilliers
Année 19
11
Janvier
1911,
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de Gennevilliers
Le
22 février 1911,
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municipales
de Gennevilliers
Le
10 mars 1911,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
16 mars 1911,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
31 mars 1911, 
Archives
municipales
de Gennevilliers
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
6 avril 1911,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
1er mai 1911,
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municipales
de Gennevilliers
Le
2 mai 1911,
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municipales
de Gennevilliers
Le
31 mai 1911, le Maire de Gennevilliers a ouvert une enquête dans ladite
commune de Gennevilliers sur le projet d'embranchement de la ligne
Gennevilliers—Madeleine entre le carrefour des Quatre Routes à Asnières et
le pont d'Argenteuil.
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de Gennevilliers
Le
23 juin 1911,
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municipales
de Gennevilliers
Le
6 juillet 1911,
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municipales
de Gennevilliers
Année 19
Le
8 mars 1912,
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de Gennevilliers
Le
27 mai 1911,
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municipales
de Gennevilliers
Le
16 juin 1912, le Conseil municipal de Gennevilliers invite la Maire à
signaler à l'Administration des tramways, au Conseil général et au
Préfet de police :
1. - que le service des tramways en général est fait irrégulièrement,
2. - que le matériel est défectueux,
le Conseil demande qu'il soit remédié le plus tôt possible à ces
réclamations qui ne sont que trop justifiées.
Le Conseil renouvelle le vœu qu'il soit établi une voie de garage au pont de
chemin de fer, avenue du pont de St Ouen
Que la points terminus et le principaux arrêts intermédiaires, le public soit
prévenu de la cessation partielle ou définitive du service, ainsi que cela se
pratique dans les gares, au métro et sur certaines lignes de tramways..
Le Conseil décide que la présente délibération soit envoyée aux maires des
commues voisines, St Denis, St Ouen, Île St Denis, Clichy et Colombes.
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municipales
de Gennevilliers
Le
16 juin 1912,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
16 juin 1912,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
28 juin 1912,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
29 9bre 1912,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
29 9bre 1912,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
17 janvier 1913,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
24 mai 1913,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Le
29 Juillet 1913,
Archives
municipales de Gennevilliers
Le
19 août 1913,
Archives
municipales
de Gennevilliers
Année 1920
Le
15 novembre 1920,
Archives municipales
de Gennevilliers
Année 192
Le
15 octobre 1921,
Archives municipales
de Gennevilliers
Le
22 octobre 1921,
Archives municipales
de Gennevilliers
Le
22 octobre 1921,
Archives
municipales de Gennevilliers
Le 17
février 1922,
Archives municipales
de Gennevilliers
Le
9 mars 1922,
Archives municipales
de Gennevilliers
Le
12 avril 1922,
Archives municipales
de Gennevilliers
Le 1er juin 1922, la Direction générale de
l'Inspection des Transports en commun de la Préfecture de la Seine publie une
notre relative à l'établissement d'un programme de remaniement et
d'extension des réseaux de transport à la surface de la Région
parisienne précise que la ligne 66 (Colombes—Porte de
Clignancourt) traverse de l'Ouest à l'Est le canton d'Asnières, Chemin de
grande communication n°10, franchit la Seine au pont de St Ouen et
gagne la porte de Clignancourt par la rue de Paris et la rue des Rosiers, en
traversant le canton de St Ouen.
L'intégralité
de la notre concernant l'ensemble des lignes de la région Nord-Ouest.
Archives municipales
de Gennevilliers
1922,
Archives municipales
de Gennevilliers
Le 1er juin 1922, la Direction générale
de l'Inspection des Transports en commun de la Préfecture de la Seine publie
une notre relative à l'établissement d'un programme de remaniement et
d'extension des réseaux de transport à la surface de la Région parisienne précise
que la ligne 66 (Colombes—Porte de Clignancourt) traverse de l'Ouest à l'Est
le canton d'Asnières, Chemin de grande communication n°10, franchit la Seine
au pont de St Ouen et gagne la porte de Clignancourt par la rue de Paris et la
rue des Rosiers, en traversant le canton de St Ouen.
L'intégralité
de la notre concernant l'ensemble des lignes de la région Nord-Ouest.
Archives municipales
de Gennevilliers
Le
24 juin 1922, le Conseil municipal de Gennevilliers considérant que la
Ville de Gennevilliers appelée à devenir un centre industriel des plus
importants du Département de la Seine n'a pas les moyens de communications
nécessaires reliant les diverses agglomérations, principalement celle de
Villeneuve-le-Garenne avec les services publiques de la Commune.
Considérant qu'il serait urgent pour la population ouvrière qui vient
travailler dans les nombreuses usines qui se sont installées dans la commune de
trouver les moyens de communication suffisants, tant pour se rendre à leur
travail que pour réintégrer leur domicile.
Considérant que différents projets dressés par la S.T.C.R.P. seront
incessamment soumis à l'examen général, émet un vœu qu'en dehors des
projets pouvant être retenus soient pris en compte :
1. - Ligne 66 Colombes—Clignancourt
- rétablissement du service tous les 1/4 d'heure
- sectionnement rue de paris au croisement du tramway 39 Madeleine—Gennevilliers
- que le parcours entre le rue de Paris et le boulevard circulaire
d'Épinay soit neutralisé.
2. - Ligne 78 Saint Denis-Hôpital—Villeneuve ; prolongement jusqu'à
Gennevilliers ligne 77 Asnières—Saint Denis, déviation par le boulevard
Gallieni.
3. - prolongement de la ligne 55 (Saint Ouen—Opéra) ou 10 (Saint Ouen—Bastille)
de Saint Ouen à Gennevilliers.
4. - Ligne 39 Madeleine—Gennevilliers ; que les voitures faisant le rabattage
aient comme parcours porte de Clichy—Gennevilliers et que toutes le voitures
soient doublées d'une baladeuse aux heures d'affluence.
Archives
municipales de Gennevilliers
Le
24 juin 1922,
Archives
municipales de Gennevilliers
Le
24 juin 1922,
Archives
municipales de Gennevilliers
Le
11 novembre 1922,
Archives
municipales de Gennevilliers
Le
24 décembre 1922,
Archives
municipales de Gennevilliers
Le
31 janvier 1923,
Archives
municipales de Gennevilliers
1923,
Archives
municipales de Gennevilliers
1923,
Archives
municipales de Gennevilliers
L
23 février 1923,
Archives
municipales de Gennevilliers
Le
1er mars 1923, le Maire de Gennevilliers écrit au Conseiller
général pour l'informer des renseignement fournis par l'Ingénieur Inspecteur
principal du Contrôle des tramways dans un entretien récent.
- Ligne 66 : le chevauchement demandé entre l'église et la rue de Paris
pourrait être accepté en modifiant le tarif de 1ère classe qui
augmenterait de 0,05 F dans chaque sens il y aurait lieu de solliciter le
rétablissement du service d'avant guerre.
- Ligne 77 : une délibération du 24 décembre 1922 sollicite le service de
jour jusqu'à 21 h. et ensuite un départ toutes les 1/2 heures.
- Ligne 39 : des réclamations ont lieu journellement sur l'irrégularité du
service entre Gennevilliers et Asnières, il n'est pas rare de rester 1/2 heure
et quelques fois plus sans voiture. Il lui demande de vouloir bien le
porte-parole pour obtenir des améliorations.
Archives
municipales de Gennevilliers
Le
9 avril 1923,
Archives
municipales de Gennevilliers
Le
30 avril 1923,
Archives
municipales de Gennevilliers
Le
16 juin 1923,
Archives
municipales de Gennevilliers
Le
8 mars 1924,
Archives
municipales de Gennevilliers
Non
daté,
Archives
municipales de Gennevilliers
Le
11 avril 1924,
Archives
municipales de Gennevilliers
Le
5 novembre 1924,
Archives
municipales de Gennevilliers
Le
22 octobre 1925,
Archives
municipales de Gennevilliers
Le
15 mars 1926,
Archives
municipales de Gennevilliers
Le
17 mars 1926,
Archives
municipales de Gennevilliers
Le
24 juin 1929,
Archives
municipales de Gennevilliers
Le 17 juillet 1931,
Archives
municipales de Gennevilliers
Le
16 avril 1932,
Archives
municipales de Gennevilliers
Le
16 octobre 1933,
Archives
municipales de Gennevilliers
Le
19 octobre 1933,
Archives
municipales de Bois-Colombes
Le
25 octobre 1933,
Archives
municipales de Bois-Colombes
Le
25 octobre 1933,
Archives
municipales de Bois-Colombes
Le
15 novembre 1922,
Archives municipales
de Gennevilliers
Le
8 mars 1924, Projet de délibération du Conseil municipal de Gennevilliers
qui émet un vœu qu'un feu soit établi sur le ligne 66 de Paris (terminus de
la ligne 39) et le boulevard d'Épinay, afin d'éviter les inconvénients qui se
produisent fréquemment lorsque le machiniste, las d'attendre à un de ces
points par suite du retard, s'engage avec raison sur la voie entre ces deux
points, ce qui provoque, en cas de rencontre des incidents au détriment des
voyageurs.
Archives municipales
de Gennevilliers
Le
11 avril 1924, suite à la transmission du registre de délibérations du 1er
mars 1924 de la Commune de Gennevilliers concernant les vœux relatifs aux
lignes 39, 66 & 77, le Directeur de la S.T.C.R.P. répond point par
point à cette délibération.
a finir
Le
10 février 1930,
Archives municipales
de Gennevilliers
Le
27 février 1930, le Président du Conseil d'administration de la S.T.C.R.P.
écrit au Maire de Villeneuve-la-Garenne et Conseiller général de la Seine,
suite à sa lettre du 12 février 1930 concernant le report à l'avenue de
Colombes (croisement de la ligne 39) du point de retournement actuel des
voitures de la ligne 66 rue St Denis, angle de la place de la Mairie.
Il fait connaître que la Compagnie ne voit aucun inconvénient à ce que
satisfaction soit donnée à la demande du Conseil municipal de Gennevilliers et
qu'elle prend toute disposition pour que ces retournements aient lieu avenue de
Colombes, après les croisement de la ligne n°39.
Mairie de
Villeneuve-la-Garenne, Service Archives-Documentation,
cote 6707
Le 8 novembre 1932, à la Mairie de La Garenne-Colombes se sont réunis
les Maires de Colombes, Bois-Colombes, Villeneuve-la-Garenne, Gennevilliers,
excusés le Maire d'Asnières et des Conseillers généraux de la Seine.
Le Maire de La Garenne-Colombes et Conseiller général de la Seine fait
connaître qu'ayant reçu deux communications relatives au service des tramways
et autobus, il a invité les représentants des communes intéressées par des
modifications demandées, à se réunir pour en conférer.
La première proposition demande que la nouvelle ligne d'autobus AW Madeleine—Asnières-place
Voltaire soit prolongée jusqu'à la place des Bourguignons à Bois-Colombes.
D'autres demandent qu'un autobus sur deux soit dirigé sur la place de la Mairie
à Gennevilliers
Ces suggestions sont adoptées.
Trois vœux sont exposés par le Comité des Chambards de Bois-Colombes :
- 1. Déplacement de la ligne de tramway 66 (Colombes—Porte Clignancourt).
Ce Comité demande que la ligne soit installée au milieu de la chaussée, ou
remplacée par une ligne d'autobus. Cette demande est appuyée par une lettre
d'un riverain de l'avenue de Gennevilliers à Bois-Colombes.
Le Maire de Colombes dit que cette installation est hors de proportion avec les
recettes de cette ligne.
Le Maire de La Garenne-Colombes fait remarquer que d'ailleurs le déplacement
dans l'axe de cette ligne est primé par des travaux de même nature que sur le
boulevard de la République et le boulevard du Hâvre à Colombes, voies à
grande circulation pour lesquelles les projets sont à l'étude.
Le Maire de Colombes préférerait que la ligne de tramway soit remplacée par
une ligne d'autobus. Il observe que lorsque les passages à niveaux seront
supprimés à la gare de Colombes3,
un aménagement nouveau des lignes s'imposera. Les lignes qui s'arrêtent rue
Saint Denis seront certainement prolongées ou raccordées.
Le Maire de La Garenne-Colombes propose de demander le remplacement de la ligne
de tramway 66 par une ligne d'autobus.
(adopté)
- 2. Suppression du 2ème ticket pour le parcours entre la gare de
Colombes et les Quatre Routes.
Avis défavorable est donné à ce vœu.
- 3. Enlèvement de la baraque des tramways du terminus aux Quatre Routes de la
ligne 45.
Avis défavorable, la question regardant la commune intéressées (Asnières).
Archives municipales
de Gennevilliers
Le
11 avril 1934,
Mairie de
Villeneuve-la-Garenne, Service Archives-Documentation,
cote 6707
1935,
carte de circulation en faveur du Maire de Villeneuve-la-Garenne.
Mairie de
Villeneuve-la-Garenne, Service Archives-Documentation,
cote 6707
Le
15 juin 1939,
Mairie de
Villeneuve-la-Garenne, Service Archives-Documentation,
cote 6707
La ligne 66 au gré des archives et au fil des cartes postales
ville
rue
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Sources
: Sites : Si
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Notes
:
2
3