Images de la ligne
La ligne 61 -
Argenteuil-gare—Bezons-quai - 6/9
4,135 Km.
Marc André Dubout
année 1929
Le
4 février 1929, le Directeur général de l'Inspection générale et des
Transports en Commun (Préfecture de la Seine) écrit au Président du Conseil
d'administration de la S.T.C.R.P..
L'avenant à la Convention d'affermage du 20 septembre 1920, intervenu le 15
octobre 1926 et relatif à la ligne Bezons—Argenteuil dispose :
- "La S.T.C.R.P. assurera l'exploitation de la ligne à partir de la date
qui sera fixée par le Préfet de la Seine, la Société entendue, sous
réserve de sa mise en possession de ladite ligne dans les conditions
indiquées à l'article 6 de la Convention d'affermage".
La ligne Bezons—Argenteuil ayant été remise le 16 avril dernier par le
Département de Seine-&-Oise au Département de la Seine et exploitée
depuis par la S.T.C.R.P. sous l'indice 61 Bezons-Quai—Argenteuil-Gare, cette
date sera officiellement considérée comme celle à partir de laquelle la
société a assuré l'exploitation de la ligne.
Archives de la RATP
Le
2 juillet 1929, cette lettre (du Maire d'Argenteuil ?) adressée
au Chef du dépôt de la S.T.C.R.P. de La Garenne-Charlebourg.
Par lettre en date du 1er février dernier la Société a demandé
l'autorisation d'exploiter la ligne 61 Bezons—Argenteuil par motrice
à un agent type CFN 130 transformée. Une motrice de ce type a été
montrée, mais avant de donner l'avis demandé sur les susdites propositions,
la Municipalité d'Argenteuil désirerait faire procéder à un semblable
examen sur place.
À cet effet le Maire le prie de bien vouloir faire le nécessaire lundi
prochain 8 juillet à 18h30 au terminus d'Argenteuil-Gare pour qu'elle se
trouve avec un mécanicien s'il et jugé à propos un chef de service qui
pourrait fournir des explications à la Commission municipale, en particulier
sur les améliorations qui pourraient encore être apportées le cas échéant
à ce matériel.
Archives de la RATP
Le
3 juillet 1929, Document du dépôt de Charlebourg transmis à
l'Ingénieur, Chef du Mouvement au Groupe Nord.
En retour au Chef de Service administratif de l'Exploitation il lui fait
connaître qu'il a indiqué, ce jour à M. S. les raisons pour lesquelles il
ne paraissait pas opportun de donner une suite favorable à sa demande.
M.S. n'a pas insisté. Il a toutefois dit que d'après lui, il aurait été
préférable de présenter la voiture à cette Commission pour obtenir
l'accord de la Municipalité d'Argenteuil pour la mise en service de voitures
à un seul agent sur la ligne 61.
Cette Municipalité semble vouloir s'opposer à l'introduction de ces voitures
sur cette ligne.
Archives de la RATP
Le
13 août 1929, copie du rapport d'un agent de police, signé du
Commissaire de Police.
De planton au carrefour de la Banque, nous sommes requis pour constater un
accident qui vient de se produire face le n°11 de la Grande Rue. Nous nous
rendons sur les lieux et entendons M. D. 48 ans, né le 21 juin 1883 à Saint
Maur, commerçant et demeurant n°18 rue Baudin à Argenteuil, conducteur de
la voiture n°818-Z-34 qui nous déclare : "Venant de la rue Alfred
Labrière, me dirigeant vers la gare, arrivé au n°11 Grande Rue je doublais
un tramway en stationnement, lorsque un receveur sautant brusquement de sa
voiture est venu se jeter sur le devant de mon véhicule me détériorant mon
phare".
Entendons le blessé qui nous déclare être blessé au genou droit et
confirme la déclaration du conducteur de l'auto
Le blessé se nomme E. Antoine receveur à la S.T.C.R.P. demeurant n°8 rue
Marceau à Houilles (S-&-O), voiture n°1771.
Comme suite à ce constat plusieurs employés de la S.T.C.R.P. ont eu une
conduite et des propos injurieux envers les agents et M. le Commissaire de
Police.
Ce sont les nommés P. Lucien, né le 22 juin 1900 et demeurant rue Joseph
Barra à Bezons n°51, refus de donner son identité, receveur portant le n°
2530.
Un civil ayant provoqué un rassemblement et ayant été très insolent, de
dernier se nomme M. Louis demeurant n°22 avenue Alexandre à Bezons.
Les voitures en stationnement portaient les n° 16773 coquille 1852, 04442
coquille 670 et 77917 coquille 31.
Signé le Commissaire de Police.
Archives de la RATP
Le
14 août 1929, le Commissaire de Police adresse au Maire d'Argenteuil
copie du rapport du Gardien de la Paix V. avec les renseignements suivants en
le priant de la transmettre à la S.T.C.R.P. afin que les contrôleurs
s'occupent mieux de leur fonction.
1. - Les tramways encombrent la Place de la gare d'une façon permanente,
c'est d'ailleurs ce qui ressort des rapports faits à ce sujet ; maintenant
ils arrêtent la circulation à l'intersection de la rue Labrière et de la
grande Rue. En effet, le 13 août à 19h50 il y avait là 4 véhicules qui,
sans motif apparent, y ont stationné de 8 à 9 minutes.
2. - De ce fait il y a eu un accident. Le receveur E. a été légèrement
blessé au genou et de suite il a déclaré que l'automobiliste allait vite.
Or, il ressort de la déclaration de l'Agent de service au carrefour que
l'automobiliste avait été arrêté par le stationnement des tramways et que
25 mètres après son départ, c'est-à-dire à une allure normale, l'accident
avait lieu.
Le tramway n'était pas à un arrêt normal et le receveur n'avait pas à
descendre du véhicule. La faute lui incombe donc entièrement.
3. - Les receveurs en station ont été invités à donner leur nom et le
numéro de leur voiture afin de dresser, le cas échéant, un procès
verbal pour stationnement sans nécessité ; deux s'y sont prêtés de bonne
grâce ; le troisième a refusé sous prétexte qu'il voulait voir ma carte,
or j'étais accompagné de deux agents de police ; il voulait créer un
incident de concert avec un individu qui se déclarait son témoin.
Ce n'est qu'en présence du contrôleur qu'il a dit être le receveur P.
Lucien de Bezons, son témoin est un nommé L. Louis également de Bezons.
4. - Les contrôleurs de service devraient s'occuper d'une façon plus active
de l'arrivée des tramways : ils restent sur la Place de la gare et ne
s'occupent pas de ceux qui stationnent à l'endroit le plus fréquenté de la
ville.
Ils prétendent qu'ils donnent leurs instructions par les feux. C'est
possible, mais les rues ne sont pas moins encombrées.
5. - Les termes "propos injurieux" du rapport de l'agent V. sont
exagérés ; l'employé mis en cause et le receveur 2530 ont cherché a créer
un incident mais ils n'ont pas été grossiers sans quoi d'ailleurs ils
auraient été poursuivis.
En tout cas, ils devraient se rendre compte que le personnel de la police
d'Argenteuil est toujours à leur disposition et il a toujours été déféré
à leurs nombreuses réquisitions pour ne pas essayer de créer une
atmosphère hostile à ce service ; même s'ils habitent la ville de Bezons.
Le
16 août 1929, le Maire d'Argenteuil adresse au Directeur de la
S.T.C.R.P. copie de la lettre du Commissaire de Police au sujet d'incidents
qui se sont produits à Argenteuil le 13 août.
Il lui serait obligé de vouloir bien donner les instructions nécessaires
pour que les agents d'exécution des services prennent les mesures utiles pour
gêner le moins possible la circulation, qu'il s'agisse de l'intersection de
la Grande rue et de la rue Alfred Labrierre ou de la Place de la gare.
Un arrêté municipal est d'ailleurs en préparation pour régler les points
de stationnement et lui sera notifié incessamment.
Archives de la RATP
Le
23 août 1929, les Inspecteur de lignes et Inspecteur divisionnaire
adressent un rappel de note à l'usage du personnel.
Consignes concernant le stationnement des trains ou motrices lignes 61, 64, 40
dans le garage "Grande Rue et rue Alfred Labrière".
1. - La capacité du terminus Argenteuil-Gare est de trois trains.
2. - Le personnel est informé que sous aucun prétexte il ne devra y avoir en
stationnement Grande Rue (au feu signal), plus d'une motrice et un train, soit
trois voitures au maximum.
Lorsque le feu signal est rouge direction du terminus et qu'il y a un train et
une motrice en attente de départ les mesures suivantes seront appliquées :
a) s'il se présente une voiture ou un train de la ligne 61, elle devra
obligatoirement stationner face n°4 Grande rue, face la pharmacie.
b) s'il se présente une voiture ou un train de la ligne 64 ou 40, il devra
stationner à l'angle de la Grande Rue et de la rue Alfred Labrière en
dégageant suffisamment la chaussée à seule fin de ne pas embouteiller la
circulation.
Les voitures ainsi en station s'avancent au fur et à mesure du départ des
motrices arrêtées au feu signal jusqu'à concurrence de 3.
Archives de la RATP
Le
24 août 1929, l'Inspecteur divisionnaire répond à l'Ingénieur en chef
de Mouvement du Groupe Nord.
Réponse à la pièce D.E.C. n°20621.
1. - En réponse à la lettre de M. le Maire d'Argenteuil en date du 16 août
1929, il lui rend compte qu'il existe une consigne pour le terminus
d'Argenteuil réglant la manœuvre des voitures et rappel de cette consigne
sera fait au personnel afin d'éviter dans la mesure du possible les
stationnements dont se plaint M. le Maire.
2. - L'accident survenu le 13.8.29 à 19h50 au receveur E. est sans
gravité ; il est du a son imprudence.
3 à 5. - Le receveur P. qui a fait des difficultés pour donner son identité
et le n° de la voiture à M. le Commissaire a été puni de 4 jours de S.P.R.,
ainsi que le receveur D. 3530 qui a cherché à créer un incident.
Trois lignes font terminus à la gare d'Argenteuil et comme au moment de la
rentrée, plusieurs trains se présentent ensemble (c'est le cas qui s'est
produit le 13.8.29 à 19h50) le contrôleur de quai est dans l'obligation d'en
arrêter une partie au feu signal.
Comme le déclare M. le Commissaire la Société n'a qu'à se louer des
services rendus par ses agents et c'est pour cette raison qu'il demande des
sanctions contre les agents fautifs.
Néanmoins il déclare également que cet incident qui s'est produit a été
un peu voulu et n'est que le reflet de l'état d'esprit de la Municipalité
d'Argenteuil qui cherche tous les moyens pour obtenir la suppression du
triangle et son remplacement par une boucle.
Archives de la RATP
Le
22 octobre 1929, rapport de l'Ingénieur chef de Mouvement du Groupe Nord
concernant la modification des voies de la ligne 61.
Analyse de l'augmentation du trafic de la ligne 61.
Devant l'amélioration constante des résultats d'exploitation de la ligne 61
depuis sa mise en service le 15 avril 1929, il a été indispensable
d'augmenter par paliers successifs le nombre des places offertes sur cette
ligne.
Ces améliorations ont été les suivantes :
1. - Création d'un départ supplémentaire matinal à 6h10 de Bezons et à
6h30 d'Argenteuil.
2. - La fréquence, qui était de 30' toute la journée a été portée à 20'
au heures de pointe à savoir :
- du commencement du service à 8h15
- de 11h40 à 13h45
- de 17h05 à 18h30
3. - Un attelage a été mis en service en semaine aux heures de pointe. Le
dimanche, le nombre d'attelage a été porté à 2.
4. - Le service a été prolongé dans la soirée jusqu'à 22h.
Ces diverses modifications ont toujours été suivies d'une amélioration de
rendement.
En effet, la recette moyenne journalière qui, au cours de la première
semaine d'exploitation, n'était que de 980 Frs pour 285 Km., atteint
aujourd'hui 1840 Frs pour 350 Km., soit une plus value de 87 % de la recette
pour une augmentation de 22,8 % des Km.
La R/RV (recette/recette-voyageur), qui oscillait entre 3,70 et 4 Frs, est à
l'heure actuelle de 7 à 8 Frs.
Le dimanche, on enregistre la même progression, la recette étant passée de
1500 Frs à 3200 Frs.
Au point de vue du classement général, la ligne 61 qui, au cours du 2ème
trimestre 1928, occupait la 85ème place avec un déficit de 0,086
au Km., est passée à la 20ème pendant le 1er
trimestre 1929, avec un gain au Km de 0,081.
Améliorations à apporter.
Devant pareils résultats, on ne peut augurer avec certitude que la plafond
Recette est loin d'être atteint sur la ligne 61.
Une augmentation de service s'impose, mais le nombre actuel des garages ne
permet pas d'envisager une augmentation de la fréquence.
En effet, la longueur de voie unique entre le terminus de Bezons-Quai et le
garage de la place du 11 novembre est d'environ 2,180 Km. L'exploitation à 3
trains, qui conviendrait au trafic, est donc impossible à réaliser dans les
conditions actuelles.
Seul un service à 2 trains avec croisement obligatoire à la place du 11
novembre est réalisable.
On est donc fatalement amené à envisager la création d'un nouveau garage au
droit du n° 200 de la rue de St-Germain. Ce garage diviserait en deux parties
sensiblement égales la voie unique allant de la place du 11 novembre au
terminus de Bezons-Quai (annexe A - Schéma des garages actuels et du garage
proposé).
Cette modification permettrait de mettre en application les tableaux de marche
à trois trains, dont les analyses (annexe B) et les graphiques (annexe C)
sont joints au présent rapport.
Augmentation de matériel
Pour assurer les tableaux de marche proposés, il serait nécessaire
d'augmenter la dotation du dépôt de Bezons de 3 attelages A.
Conclusion
La création du garage supplémentaire doit être considérée comme un
travail de première urgence.
Cette question n'est du reste pas nouvelle car, lors de la première étude
faite le 1er mars 1928, avant la mise en exploitation de la ligne
61, il avait été déjà envisagé que la création d'un garage face le n°
100 de la rue St-Germain était indispensable au développement de la ligne.
Cette demande a d'ailleurs été renouvelée le 24 avril 1929 par M. C.
Inspecteur divisionnaire (note n°594).
La dépense envisagée sera facilement récupérée, car l'augmentation de la
fréquence et du nombre de places offertes aura pour conséquence directe
d'orienter vers le tramway les voyageurs, se rendant aux usines Dietrich ou à
la gare d'Argenteuil, qui empruntent encore actuellement les autobus de la
Société des Transports départementaux, dont les lignes
"Argenteuil-Gare—Val Notre-Dame" et Argenteuil-Gare—Versailles sont en
concurrence directe avec la ligne 61.
Archives de la RATP
Le
28 octobre 1929, l'Ingénieur, chef du Service du Mouvement écrit à
l'Ingénieur en chef des Voie et Bâtiments au sujet de la création d'un
garage sur la ligne 61.
Devant les résultats encourageants de la ligne 61, une augmentation de
service devient nécessaire, mais le nombre actuel de garages ne permet pas
d'envisager une augmentation de la fréquence.
En conséquence, il demande de bien vouloir envisager la création d'un garage
rue de Saint Germain au droit du n° 200.
Ce garage diviserait en deux parties sensiblement égales la voie unique
allant de la place du 11 novembre au terminus de Bezons-Quai.
Archives de la RATP
Le
4 novembre 1929, l'Ingénieur en chef des Voie et Bâtiments écrit à
l'Ingénieur des Ponts & Chaussées, Contrôle des V.F.I.L. de
Seine-&-Oise.
En nous adressant copie s'une dépêche de M. le Ministre des Travaux publics
du 8 août 1929, relative aux dérogations apportées aux prescriptions
réglementaires du cahier des charges du 25 avril 1014 concernant la ligne St
Germain-en-Laye—Argenteuil vous avez bien voulu nous demander :
1. - un projet d'avenant au décret du 25 avril 1914 comportant les
dérogations en question ;
2. - un projet de consignes d'exploitation en vue d'obliger les conducteurs de
tramways à observer une allure lente dans les parties droites de la traverse.
Nous avons l'honneur de vous adresser ci-joint les deux textes en question que
nous avons établis, le projet d'avenant, notamment, sous réserve de l'accord
du département de la Seine.
En ce qui concerne la prorogation du délai de deux ans, stipulé à l'article
1 de la convention interdépartementale, pour l'établissement du tronçon
Bezons—Argenteuil, nous n'avons pas cru nécessaire de l'insérer dans le
projet d'avenant ci-dessous visé, étant donné que la construction du
tronçon en question a été déclarée dans le délai prescrit.
Archives de la RATP
Le
projet d'avenant au cahier des charges annexé au décret du 25 avril 1914
déclarant d'utilité publique le tramway de St Germain-en-Laye—Argenteuil.
Entre le Département représenté par M. R., Préfet dudit département,
d'une part
et le Département de Seine-&-Oise représenté par M. B., Préfet dudit
département, d'autre part,
Il a été convenu ce qui suit :
Article premier - L'article 3 du cahier des charges annexé au décret du 25
avril 1914 déclarant d'utilité publique le tramway de St Germain-en-Laye—Argenteuil
est complété par les dispositions ci-après qui seront insérées avant le
dernier paragraphe dudit article.
Également, à titre d'exception, la distance réglementaire de 1,40 m. entre
le matériel et les immeubles et la largeur réglementaire de 1,10 m. des
trottoirs sont réduites dans les conditions suivantes :
- Rue de St-Germain au droit de la mitoyenneté des immeubles n°13 et 13 bis
:
la distance du gabarit du matériel à la façade des immeubles, côté
impair, est seulement de 0,82 m. au lieu de la cote réglementaire de 1,40 m.,
la largeur du trottoir même côté est réduite à 0, 52 m. au lieu de la
cote réglementaire de 1,10 m.
- Grande rue au droit du n° 60
Côté pair, distance de 0,98 m. entre le gabarit du matériel et les façades
des immeubles, trottoir de 0,58 de largeur.
Les consignes d'exploitation de la ligne Bezons—Argenteuil devra contenir
des dispositions en vue d'obliger les conducteurs des tramways à observer une
allure suffisamment ralentie pour pouvoir rester maîtres de la vitesse de
leur voiture aux endroits concernant les dérogations visées ci-dessus.
Archives de la RATP
Le
5 novembre 1929, extrait de la conférence n° 45 du Service du Mouvement
18. - stationnement des voitures des lignes 40 & 61 à la gare d'Argenteuil.
M. Pons avise l'Ingénieur en chef de mouvement Groupe Nord qu'il est d'accord sur les conclusions du rapport établi à ce sujet, pour
faire emprunter
le triangle américain situé face à la gare d'Argenteuil à toutes les
voitures ou trains des lignes considérées arrivant audit terminus, de façon
à mesurer la descente des usagers Boulevard Thiers, ce qui entraîne la
modification de l'aiguillage commandant l'entrée du triangle américain
direction banlieue.
Par contre, il n'est pas d'accord pour modifier l'emplacement des feux signaux établis
rues Bicheret et Alfred Labrière, cette modification ne pouvant que retarder
considérablement l'écoulement des voitures dans la Grande rue.
Il le prie, en conséquence, de bien vouloir effectuer une démarche auprès
de M. le Maire d'Argenteuil pour lui faire connaître les mesures proposées
en vue d'appliquer l'arrêté en date du 22 août 1929.
M. Pons remet à l'Ingénieur en chef de mouvement Groupe Nord.
Archives de la RATP
Sources et remerciements :
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