Le 24 octobre 1927, le Directeur général de l'Exploitation et des Services Techniques écrit au Préfet pour lui réclamer les autorisations nécessaires pour la réalisation des dispositions de la lettre n° 2792 du 15 mars 1927 relative aux conditions d'exploitation des lignes n° 64 et n°61. Il signale en outre que la mise en exploitation ainsi que la modification d'itinéraire ne pourront être effectuées qu'après l'accomplissement des formalités entre les Départements de la Seine et de la Seine-&-Oise (article 3 de la convention du 8 juin 1925).
Il demande au Préfet de provoquer dès que possible la réunion de la Commission spéciale chargée de la rédaction du procès-verbal de réception définitive des ouvrages exécutés par le Département de Seine-&-Oise.
Pour satisfaire au désir exprimé par le Département de Seine-&-Oise et d'un Conseiller général de la Seine il propose en outre l'établissement, à titre d'essai, d'un service spécial d'omnibus entre la Place du 11 novembre à Argenteuil et le boulevard de Valmy à Colombes, empruntant les rues de Nanterre et Paul Bert.
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Le 23 Novembre 1927, extrait de "Paris Soir" du 23 novembre 1927.
Le coin de la banlieue. "Une ligne de tramways sans tram à Argenteuil".
Argenteuil doit batailler comme toutes les communes de banlieue pour obtenir les transports indispensables. Deux trams la desservent : le 40 Place de Clichy—Quai d'Argenteuil et le 64 Porte Champerret— Quai de Bezons. Or, récemment, à la suite d'une pétition couverte de milliers de signatures, la S.T.C.R.P. s'est décidée à effectuer quelques travaux. Deux tronçons de voies ont été posés. Le premier relie les deux lignes par le boulevard de Valmy, le second unit la gare à Bezons par la grande rue. Car aussi extraordinaire que cela puisse paraître la Grande Rue qui s'allonge sur 1800 mètres, très peuplée, très commerçante, ne possède pas les moyens de transport.
De voir les ouvriers poser des rails, élever des poteaux électriques, cela avait donné de l'espoir aux habitants. 
Enfin, en mai dernier, la nouvelle ligne, qui doit porter le numéro 61 fut inaugurée en grande solennité.
Cette fois, les citoyens de dirent : "Ca y est, vous allons avoir un tram !"
Hélas ! Une décision allait suivre de près leur joie.
La S.T.C.R.P., qui, à vrai dire avait déjà exposé son point de vue, sans toutefois insister, indique nettement ses intentions :
"C'est entendu dit-elle, je vais mettre des voitures en service sur la ligne 61, mais à une condition : autorisez-moi à désaffecter un tronçon de la ligne 64, qui va de Bezons au boulevard de Valmy".
La ville sursauta : "Mais c'est impossible ! Songez que le tronçon en question dessert le quartier des usines. Chaque jour 3 000 ouvriers empruntent le 64. Si vous supprimez ce tram, vous obligerez des 3 000 travailleurs à faire de longs détours à pied".
Mais la municipalité eut beau s'épuiser en arguments, rien n'y fit. Le différend devint une affaire en cours. Mais un Conseiller municipal veillait, si j'ose dire. Décide, sans doute, à donner un regain d'actualité à la question, l'édile déclara, en séance du Conseil municipal : "J'ai assisté, en ma qualité de délégué à une réunion du Comité consultatif des transports de la région parisienne. Je suis heureux de vous annoncer que bientôt le tram 61 passera dans la grande rue. La mise en service sera consécutive à la désaffectation de la ligne 64".
Le Conseiller, riche de bonnes intentions, avait à peine terminé sa déclaration que ce fut un tollé général.
L'assemblée était toute bouleversée. 
Les reproches durs pleuvèrent sur l'infortuné délégué qui avait parlé de la désaffection du 64 comme d'une chose possible.
Enfin le Conseil se calma et puisa une force et une espérance nouvelle dans la rédaction d'un énergique ordre du jour, selon lequel le Conseil municipal, agissant conformément aux vœux des habitants, allait persister dans son attitude première.
Et voilà quel tour peut prendre en banlieue une affaire de transports. 
Pourtant il s'agit d'une ligne absolument indispensable. Argenteuil veut un tram dans sa grande rue. C'est normal. Elle refuse de priver de transport 3 000 ouvriers, c'est encore normal. On voudra bien s'en rendre compte afin de ne pas motiver de plus graves débats
Signé Jean Chataigner
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La première ligne portait le numéro 20 et concernait non pas le projet de ligne St Germain—Argenteuil mais le projet de tramway Houilles—St Ouen.  Sa durée d'exploitation a été éphémère Du Grand Cerf à la gare d'Houilles (antenne) Dès1896 dans le projet non réalisé de la ligne de Houilles à St Ouen, la commune de Houilles demande à ce que le tramway desserve la gare de chemin de fer de la Compagnie de l'Ouest sur la ligne Paris St Lazare—Le Havre. (Archives du service Archives-Documentation de Houilles) Cette antenne a été établie du Grand Cerf à la gare d'Houilles terminus. Elle empruntait l'ancienne route de St Germain puis la rue du Quatre septembre pour arriver en impasse avec une voie d'évitement de 56 m de longueur utile au droit du bâtiment voyageurs de la gare de Houilles.  (Archives du service Archives-Documentation de Houilles) Un bâtiment de 4 m. sur 2 m. serait construit pour la compagnie du tramway. Bien que la commune ait demandé le doublement de la voie, celui-ci ne fut jamais réalisé à cause du manque de fréquentation.  Cette courte ligne fut l'amorce du projet, jamais réalisé, de relier Le Pecq à Bezons puis Argenteuil. Tracé du prolongement jusqu'à la gare d'Houilles. En 1913 il avait été prévu de doubler la voie sur le chemin de St Germain à l'occasion du renouvellement des voies rue Villeneuve à Bezons et que ce doublement entraînerait le pavage pour le compte de la compagnie. Le seconde voie n'a jamais été établie. Elle prenait naissance au Grand Cerf à l'endroit où était situé le dépôt. Ici à gauche sur le cliché... ...puis suivait en accotement gauche l'ancienne route de St Germain. Vue en direction du Grand Cerf. Archives du service Archives-Documentation de Houilles) aujourd'hui boulevard Jean-Jaurès. (Archives du service Archives-Documentation de Houilles) pour arriver au terminus de la gare de Houilles Nous sommes en 1906. (Archives du service Archives-Documentation de Houilles) Peu d'informations sur cette courte antenne qui apparaît sur un plan de 1913.

Mais revenons sur la partie Bezons-quai—Argenteuil (ligne 61) qui a été créée suite à la modifications de la ligne 64 de 1934 avec le report du terminus de Bezons-quai à Argenteuil-gare.
La ligne 64 était le prolongement de l'embranchement de Colombes jusqu'à Bezons quai en passant par l'église de Colombes (ancien terminus de la 62 bis) 

1901	62 bis		T.E.M.P.	Paris Porte Maillot—Embranchement—Église de Colombes
1920	64		T.P.D.S.	Paris Porte Champerret—Église de Colombes—Bezons-quai
1934	64		S.T.C.R.P.	Paris Porte Champerret—Église de Colombes—Argenteuil-gare
1934	61			Bezons-quai—Argenteuil-gare

• année 1928

Le 6 janvier 1928, l'Ingénieur en chef du Mouvement écrit au Directeur général de l'Exploitation et des Services techniques sur des questions diverses intéressant l'exploitation des lignes n°64 "Bezons-Quai—Porte Champerret" prolongée à la gare d'Argenteuil et n°61 Bezons-Quai—Argenteuil-Gare et porte les éléments de réponse à la lettre du 8 décembre 1927 de M. l'Ingénieur des Ponts & Chaussées.
Lignes n° 61 & n°64 - Horaires : sans observations.
Ligne n°64 - arrêt du quai d'Argenteuil : sur la liste des points d'arrêt la Société inscrit celui du quai d'Argenteuil comme devant être effectué sur le territoire d'Argenteuil et non sur celui de gennevilliers.
Sur un total de 9 arrêts prévus, six sont considérés comme devant être obligatoires ; ce nombre serait porté à 8 si la suggestion de . l'Ingénieur était admise. Pour des raisons déjà exposées dans la lettre de la S.T.C.R.P. n°182 du 18 octobre 1927 et étant donné que l'article 230 du Règlement d'Exploitation à l'usage des contrôleurs, receveurs et machinistes prescrit à ces derniers de ralentir à 8 Km. à l'heure en arrivant à hauteur des points d'arrêts facultatifs, la société estime qu'il n'y a pas lieu de transformer en obligatoire, les arrêts des rues de Sartrouville et de la Liberté.
Lignes n° 61 & n°64 - Tarifs : dans l'intérêt du département la Société ne peut que maintenir le point de vue exposé par les services des Études administratives et reproduit dans la lettre de la S.T.C.R.P., ci-dessus visées.
Propositions définitives de taris à soumettre à M. le Préfet de la Seine : sans observations. 
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Le 4 février 1928, le Maire d'Argenteuil écrit à l'Ingénieur, chef du service du mouvement de la S.T.C.R.P. suite à sa lettre du 22 août 1927 n° DEC10142 et suite à sa visite à Argenteuil du 6 décembre 1927 au sujet de la mise en service de la ligne 61 de la Gare d'Argenteuil à Bezons-Quai.
Il lui rappelle qu'il avait alors envisagé la mise en service de cette ligne début Janvier.
La municipalité d'Argenteuil est constamment assaillie de questions à ce sujet et le Maire serait heureux de pouvoir répondre  avec précision, s'il pouvait avoir connaissance de la date de la mise en service de cette ligne 61.
Il sait que des difficultés se sont élevées au sujet du déséquipement du tronçon de la ligne 64 entre le Pont-Neuf et le boulevard de Valmy à Colombes pour lequel un service d'autobus avait été entrevu pour pallier les inextricables conséquences que soulève ce déséquipement.
D'autre part les milliers de pétitionnaires persistent dans leur attitude et la Municipalité et le Conseil municipal s'en tiennent à la délibération de l'Assemblée communale du 22 octobre. Ce point mis à part, il se demande si on ne pourrait dès maintenant mettre en service la ligne 61 et quelles sont les raisons qui s'y opposent.
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Le 7 février 1928, le Président du Conseil d'Administration de la S.T.C.R.P. écrit à l'Ingénieur des Ponts & Chaussées, chargé du contrôle des V.F.I.L. suite à sa lettre du 8 décembre 1927 par laquelle il avait fait part des diverses observations suivantes :
Horaires : Les horaires définitifs ne peuvent être convenablement fixés qu'après une expérience de quelques mois, lorsque la trafic sur les itinéraires nouveaux se sera confirmé. Ceux qui ont été présentés sont purement théoriques et, par conséquent, susceptibles de modifications.
Arrêt du Quai d'Argenteuil (ligne 64) : La Société est d'accord pour inscrire cet arrêt dans Argenteuil et non dans Gennevilliers.
Arrêt avenue Legrand, transformation d'arrêt facultatif en arrêt obligatoire : La Société n'est pas d'accord sur cette proposition. Sur 9 arrêts prévus sont déjà considérés comme devant être obligatoires.
Tarification : La ligne 61 traverse des régions beaucoup moins peuplées que celle du Département de la Seine ; l'occupation des places sera donc en fait, très inférieure à celle des lignes de ce département.
Il est tout à fait normal que cette insuffisance d'occupation des places soit compensée par une tarification plus élevée. Comme le déficit d'exploitation de la ligne 61 sera supporté par le Département de la Seine, il est logique que celui-ci veuille appliquer des tarifs qui ne seraient pas trop inférieurs à ceux nécessaires pour assurer l'équilibre financier de la ligne.
Dans ces conditions, la Société ne peut modifier les propositions qu'elle a faites antérieurement.
De plus, il serait nécessaire de faire varier les tarifs de la ligne 61 d'après les tarifs du Réseau de la Seine, puisque ceux-ci sont modifiés en fonction d'un index semestriel qui tient compte des augmentations et des diminutions de dépenses.
Accord entre les départements : Conformément à la Convention du 8 juin 1925, l'accord réalisé entre les départements de la Seine et de Seine-&-Oise sur les tarifs en vigueur, les propositions de la Société seront donc transmises au Préfet de Seine-&-Oise par l'intermédiaire du Préfet de la Seine.
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Le 27 mars 1928, l'Ingénieur ordinaire des Ponts & Chaussées écrit à l'Administrateur délégué de la S.T.C.R.P.  au sujet des propositions qu'il lui a adressées par lettre du 7 février relatives aux conditions d'exploitation de la ligne de tramways n°61 de Bezons-Quai à Argenteuil-Gare.
Il lui fait connaître que M. le Préfet de Seine-&-Oise consent à ne pas insister pour obtenir la transformation en arrêt obligatoire de l'arrêt facultatif prévu avenue Legrand. Il estime également ne pas devoir insister pour la réduction des tarifs proposés, mais toutefois, il attire l'attention de la Société sur ce que l'adoption de mesures différentes sur 2 sections d'une même ligne, pour ce qui concerne la distributions de billets ouvriers notamment, ne manquera pas de provoquer des réclamations.
Enfin M. le Maire d'Argenteuil suppose que l'arrêt dénommé "Avenue Legrand" doit être celui prévu à l'angle de la rue de Sartrouville et il rappelle que la substitution éventuelle, à titre d'essai, d'un service d'autobus à celui des tramways de l'ancienne ligne 64, comprise entre Colombes-Boulevard de Valmy et Argenteuil-Pont-Neuf doit s'entendre dans ce sens que les installations actuelles seront maintenues.
Sous cette réserve, il ne paraît donc que sauf à remplir les formalités administratives, rien ne s'oppose plus pour ce qui concerne le contrôle de l'exploitation, à ce que la ligne 61 soit mise en service. Il le prie donc de prendre les dispositions et de provoquer toutes mesures nécessaires pour que l'ouverture à l'exploitation puisse avoir lieu dans le plus bref délai.
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Le 5 avril 1928, Procès-verbal de conférence
Une conférence sur place s'est réunie le jeudi 5 avril 1928 à 10 heures à Argenteuil (Place du 11 Novembre) en vue de la réception des installations de la nouvelle ligne 61 Bezons-Quai—Argenteuil-Gare.
Étaient présents : 
- l'Ingénieur en chef des Ponts & Chaussées, Contrôle des V.F.I.L (Seine),
- l'Ingénieur du Contrôles des V.F.I.L.,
- l'Ingénieur des Ponts & Chaussées, chargé du Contrôle, de l'exploitation des V.F.I.L (Seine),
- l'Ingénieur des Ponts & Chaussées,
- le Conducteur des Ponts & Chaussées des V.F.I.L (Seine-&-Oise),
- l'Inspecteur principal de l'Arrondissement de Pontoise,
- l'Ingénieur adjoint du Service vicinal d'Argenteuil,
- l'Architecte de la Ville d'Argenteuil,
- le Sous-chef de Service à la Voie et aux Bâtiments,
- l'Inspecteur principal à la D.E.C.
- l'Inspecteur divisionnaire Exploitation- Traction,
- l'Inspecteur de lignes en 1er à le D.E.C.
- l'Inspecteur à la D.E.C.
Après échange de vues au sujet des installations nouvelles parties comprises entre la place du 11 Novembre et la Gare d'Argenteuil, les représentants du Contrôle de Seine-&-Oise en font remise au Département de la Seine qui les accepte sans observation.
La Municipalité d'Argenteuil demande des renseignements sur le service que se propose de faire la S.T.C.R.P. sur la ligne d'omnibus EZ et exprime la crainte que le service envisagé soit insuffisant.
Les représentants du Service du Contrôle de la Préfecture de la Seine s'étant plaints de n'avoir été saisis que depuis 48 heures de la mise en service de la ligne 61, M. R. répond que la Société avise habituellement en même temps les deux préfectures (Seine et Seine-&-Oise).
M.R. attire ensuite l'attention de la municipalité et du Service vicinal d'Argenteuil sur les installations prévues au terminus de la Place du 11 novembre lors de la conférence tenue le 6 décembre 1927, permettant la perception de la recette avant la montée dans les omnibus de la ligne EZ, installations qu'il estime indispensables pour la mise en exploitation de la ligne et obtient sur sa demande, l'accord verbal nécessaire à la réalisation des dispositions envisagées.
Signé Livet
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Le 6 avril 1928, le Président du Conseil d'Administration, Administrateur délégué de la S.T.C.R.P. écrit au Préfet de la Seine, Direction de l'inspection générale des Transports en Commun au sujet de la création des lignes EZ & 61 et aménagement de la ligne 64, suite à sa lettre 58-10397 par laquelle le Préfet avait autorisé à exploiter à titre provisoire et d'essai sous l'indice EZ un service spécial d'omnibus destiné à relier la Place du 11 Novembre à Argenteuil à la place Galilée à Colombes.
Il lui fait connaître que cette nouvelle ligne sera mise en service le lundi 16 avril 1928, dans les conditions déterminées par la décision préfectorale précitée.
À la même date, d'une part la ligne n°64 sera déviées à partir du boulevard d'Achères par emprunt des voies nouvelles du boulevard de Valmy et prolongée à la gare d'Argenteuil et d'autre part une nouvelle ligne de tramway fonctionnera entre la quai de Bezons et la gare d'Argenteuil sous le numéro 61.
Ces mesures seront portées à la connaissance du public par les voies habituelles.
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Le 6 avril 1928, le Président du Conseil d'Administration, Administrateur délégué de la S.T.C.R.P. écrit au Préfet de Police de Paris pour lui faire connaître cette même information.
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Le 7 avril 1928, Circulaire de la D.E.C. n° 02085 H à l'usage du personnel de la ligne 61 relative à la mise en exploitation de la ligne 61 dictée par l'Ingénieur Chef du Service du Mouvement.
À dater du 16 avril 1928, la ligne 61 Bezons-Quai—Argenteuil-Gare sera mise en exploitation.
Le service sera assuré par 2 motrices remisant au dépôt de Bezons dans les conditions fixées par les tableaux de marche n° 1 & 2 établis à cet effet.
- Itinéraire aller et retour : dans Bezons : Quai Voltaire (terminus), rues de Pontoise, Jean Jaurès.
Dans Argenteuil : rues jean Jaurès, de St Germain, Grande rue, Argenteuil-Gare (terminus).
Longueur 4,135 Km.
- Points d'arrêt :
Quai Voltaire (terminus), Rue Camille Desmoulins, Boulevard du Général Delambre, Parc du Marais, Place du 11, Novembre, Rue de Sartrouville, Église, Rue du Port, Rue Alfred Labrière, Argenteuil-Gare ( terminus).
- Sectionnements et tarifs :