La ligne 40 au gré des archives et au fil des cartes postales

L'histoire - Entre les deux guerres

• année 1930

Le 19 mars 1930, le Préfet publie l'affiche des enquêtes parcellaires pour l'acquisition des terrains, relative au doublement de la voie entre La Barasse et Aubagne.
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Le 21 mars 1930, le Maire d'Aubagne transmet au Préfet une demande présentée par le Syndicat des propriétaires du lotissement du Charral en vue d'obtenir l'établissement d'un passage à niveau sur la ligne du tramway Noailles—Aubagne. Ce passage permettrait un accès du lotissement sur la route nationale n°8.
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Le 25 mars 1930, le Préfet écrit au Maire d'Aubagne pour lui transmettre l'arrêté qu'il a pris au sujet du doublement de la voie qui prescrit l'ouverture de l'enquête parcellaire. Certains immeubles ont été cédés à l'amiable. Pour d'autres il y a lieu de recourir à la procédure prévue par la loi du 3 mai 1841 sur l'expropriation.
Le dossier d'enquête doit être tenu à la disposition du public et son son affichage doit être mis aux lieux accoutumés.
Il invite le Maire à être présent à la première séance de la Commission d'enquête.
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Le 26 mars 1930, certificat de publication et d'affichage de l'arrêté d'expropriation de terrains - enquête parcellaire. Affiche d'information du public en exécution de l'arrêté du Préfet des Bouches-du-Rhône.
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Le 7 avril 1930, enquête parcellaire, Titre II de la loi du 3 mai 1841 sur l'expropriation.
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Le 12 avril 1930, l'Ingénieur des Ponts & Chaussées écrit au Maire d'Aubagne suite à sa requête concernant les propriétaires du lotissement du Charral qui demandaient l'établissement d'un passage à niveau pour accéder directement à la route nationale n°8.
La Compagnie des tramways consultée est prête à exécuter ces travaux dès que l'autorisation préfectorale sera donnée. Ceci étant l'arrêté préfectoral doit mentionner la personne à qui incomberont les frais résultant des travaux.
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Le 12 avril 1930, projet d'horaire d'été 1930, pour les lignes Noailles—Aubagne et Préfecture—La Penne.
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Le 15 avril 1930, le Préfet écrit au Maire d'Aubagne pour l'informer que la Commission chargée d'examiner les résultats a commencé les travaux, aussi pendant le délai fixé par la loi les observations ou réclamations des propriétaires intéressés seront reçues à la Préfecture et consignées pour être soumises à la nouvelle séance que tiendra la Commission le 23 avril.
Au cours de cette séance les membres des Commissions auront à se prononcer définitivement sur le plan parcellaire et le tracé du projet.
Le Préfet invite le Maire à y assister.
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Non daté, avis de propriétés dont le département a fait l'acquisition dans le cadre du doublement de la voie entre La Barasse et Aubagne.
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Le 27 juin 1930, le Préfet transmet au Maire d'Aubagne les placards mentionnant le tableau prescrit par l'article 19 de la loi du 3 mai 1841.
Il lui demande un certificat d'affichage en retour.
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Le 9 juillet 1930, le Maire d'Aubagne informe le Directeur de la Compagnie qu'une saillie des rails de 4 à 5 centimètres présente un danger pour la circulation en face de la porte d'entrée de l'hôpital. De nombreux accidents s'y sont produits, aussi lui demande-t-il d'y remédier.
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Le 18 septembre 1930, le Maire d'Aubagne demande au Directeur de la Compagnie de bien vouloir mettre à sa disposition un train de voitures pouvant contenir 100 musiciens qui vont se produire à l'occasion de la fête de la St Mathieu sur la Commune. 
Ce train partira à 19h45 de la gare de Noailles afin de permettre à cette phalange d'arriver vers 21 heures à Aubagne. Le retour pourra s'effectuer vers 23 heures environ. Il lui demande toutes les meilleures conditions pour cette prestation.
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Le 19 septembre 1930, suite à la lettre du 9 juillet du Maire d'Aubagne, le Directeur de la Compagnie lui fait savoir que dès réception il a donné les ordres voulus pour la réfection à entreprendre. Les travaux qui ont été entrepris dès la reprise du travail viennent d'être terminés.
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• année 1931

Le 28 janvier 1931, Le Maire d'Aubagne informe ses administrés de l'expropriation pour cause d'utilité publique.
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Le Préfet des Bouches-du-Rhône, vu..., arrête les sommes à offrir pour indemnités aux propriétaires et autres intéressés atteints par l'expropriation des immeubles ou portions d'immeubles nécessaires au doublement de la ligne d'Aubagne qui sont fixés conformément au tableau ci-dessous (voir tableau).
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Le 20 février 1931, le Préfet des Bouches-du-Rhône, conformément à ... demande au Maire de publier et d'afficher avec en retour un certificat constatant l'accomplissement de ces formalités.
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Le 28 février 1931, le 28 janvier 1931, notification du jugement d'expropriation en exécution de l'article 15 de la loi du 3 mai 1841 et tableau parcellaire des propriétés expropriées.
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Le 20 avril 1931,  le Préfet demande au Maire d'Aubagne, conformément à la loi d'afficher la publication des offres à "son de trompe ou de caisse" tant à la porte principale de la Maire qu'en des lieux fréquentés par le public et de lui adresser un certificat d'accomplissement en retour.
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Le 22 avril 1931, certificat de publication et d'affichage relatif à la lettre précédente.
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Le 29 avril 1931, le Préfet envoie au Maire d'Aubagne un additif à l'arrêté du 10 avril et le prie, pour cette additif, d'appliquer les mêmes formalité que pour l'arrêté avec un certificat d'accomplissement en retour.
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Le 30 avril 1931, certificat de publication et d'affichage relatif à l'additif à l'arrêté du 10 avril.
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Le 4 mai 1931, notification d'offre légale (exécution de l'article 23 de la loi du 3 mai 1841).
Le Maréchal des Logis Chef Monsieur B. à Aubagne ayant serment en justice et revêtu des insignes de sa fonction signifie déclarer à Monsieur M., C., son expropriation. Le requérant lui offrant la somme de un franc
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Le 4 mai 1931, autre notification d'offre légale (exécution de l'article 23 de la loi du 3 mai 1841).
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Le 11 juin 1931, certificat de publication et d'affichage relatif aux offres légales d'expropriation.
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Le 11 juin 1931, le Maire d'Aubagne fait parvenir le certificat de publication et d'affichage au Préfet des Bouches-du-Rhône.
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Le 27 août 1931, le Préfet des Bouches-du-Rhône envoie au Maire d'Aubagne les nouvelles offres légales d'expropriation.
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Le 10 octobre 1931, projet d'horaire d'hiver 1931-32, pour les lignes Noailles—Aubagne et Préfecture—La Penne 
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• année 1932

Le 5 janvier 1932, paiement des indemnités par le Préfet des Bouches-du-Rhône à destination des expropriés.
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Le 12 janvier 1932, le Maire d'Aubagne renvoie au Préfet un mandat destiné aux hoirs Aubin qui n'habitent pas la Commune et lui transmet les noms et adresses de la hoirie Aubin.
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Arrêté préfectoral concernant les expropriations (document difficile à lire).
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Le 15 janvier 1932, acte déclaratif concernant la famille Aubin.
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Le 25 janvier 1932, notification de l'acte déclaratif au Maire d'Aubagne.
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Le 26 avril 1932, projet d'horaire d'été 1932, pour les lignes Noailles—Aubagne et Préfecture—La Penne 
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Le 4 octobre 1932, le Maire d'Aubagne sollicite auprès du Directeur de la Compagnie sa bienveillance pour une demande du Président de l'Association syndicale pour l'alimentation en eau de divers quartiers situés sur les territoires de la Commune d'Aubagne et de La Penne de poser une canalisation sur un terrain appartenant à la Compagnie.
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Le 6 octobre 1932, le Maire d'Aubagne attire l'attention du Directeur de la Compagnie au sujet de la construction d'un abri pour les voyageurs à la station St Mitre Vieux sur un terrain appartenant à la Compagnie.
Il lui demande de bien vouloir examiner cette affaire. 
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Le 14 octobre 1932, projet d'horaire d'hiver 1932-33 pour les lignes Noailles—Aubagne et Préfecture—La Penne.
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Le 15 octobre 1932, le Directeur de la Compagnie écrit au Maire d'Aubagne pour lui rappeler qu'en exécution de l'article 13 du cahier des charges annexé au décret du 28 janvier 1901, l'entretien des parties réfectionnées doit rester à la charge de la Commune et décline toute responsabilité en cas d'accident. 
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Le 27 octobre 1932, réponse du Maire selon laquelle, la Compagnie n'ayant pas céder les voies à la Commune celles-ci demeure l'entière propriété de la Compagnie et refuse les réserves du Directeur.
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Le 3 novembre 1932, projet d'abri à la station St Mitre Vieux. 
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Le 12 novembre 1932, en réponse à la demande de construction d'un abri à la station St Mitre Vieux, le Directeur de la Compagnie est disposé à faire édifier en face de l'arrêt facultatif un abri du modèle représenté ci-dessus. Le Directeur demandera au Département de prendre en charge les dépenses de construction qui se monteraient à 8 000 F. et qui pourraient être imputées au compte du doublement de la ligne entre La Barasse et St Marcel.
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• année 1934

Le 9 avril 1934, projet d'horaire d'été 1934 pour les lignes Noailles—Aubagne et Préfecture—La Penne.
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Le 20 août 1934, une note provenant du Commissariat de Police adressée au Maire d'Aubagne au sujet de l'état défectueux du pavage, en face du garage Émile Ducros, cours Barthélemy pouvant entraîner des accidents. En effet à cet endroit il y a une plaque métallique en X ; les pavés situés aux abords de cette plaque se sont affaissés, formant une excavation assez profonde.
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Le 31 août 1934, le Maire d'Aubagne informe le Directeur de la Compagnie du signalement ci-dessus et lui demande de bien vouloir donner les instructions nécessaires aussitôt que possible 
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Le 4 octobre 1934, projet d'horaire d'hiver 1935-36 pour les lignes Noailles—Aubagne et Préfecture—La Penne.    
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Le 11 Décembre 1934, l'école public de garçons, cours complémentaire d'enseignement primaire supérieur sollicite auprès du Maire des places dans le tramway pour emmener des élèves à l'opéra de Marseille.
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Le 11 X^bre 1934, le Maire d'Aubagne sollicite auprès du Directeur de la Compagnie des places dans les voitures de la Compagnie au profit d'élèves qui doivent se rendre à l'opéra de Marseille. Les départs sont à 12h30 d'Aubagne et 18 heure de Marseille (Noailles).
Il lui demande en outre de leur accorder le demi-tarif. 
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• année 1935

Le 11 juin 1935, un habitant d'Aubagne écrit au Maire pour lui relater un fait dramatique. Se trouvant lundi 10 juin à 21h30 dans la barrière du tramway d'Aubagne, où en ces jours de fête, la foule se pressait à tel point qu'une jeune fille fut prise de syncope et que le contrôleur dut la transporter dans un établissement.
Durant une heure d'attente, quatre tramways arrivèrent dont deux s'arrêtèrent au dépôt, au grand désappointement du public, qui ne comprendra jamais avec raison que l'on fasse si peu cas de lui.
Le signataire précise que cette réclamation émane de cent cinquante personnes environ.
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Le 18 juillet 1935, le Maire d'Aubagne remercie le Directeur de la Compagnie de la visite qu'il lui a rendue et lui demande des renseignements au sujet de l'abri de St Mitre Vieux de nature à mettre au courant de son état d'instruction, ceux de ses administrés qui y sont intéressés.
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Le 24 juillet 1935, le Directeur de la Compagnie informe le Maire d'Aubagne que le Préfet vient d'approuver le plan concernant les abris de la ligne dont celui de St Mitre Vieux.
La Compagnie établit actuellement le cahier des charges et constitue un dossier en vue de la mise en adjudication des travaux et passera à exécution aussitôt.
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Le 30 juillet 1935, le Maire d'Aubagne adresse copie de la lettre du Directeur de la Compagnie au Président du Syndicat du Comité de quartier St Mitre au sujet de l'établissement de l'abri de St Mitre Vieux.
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Le 3 août 1935, le Président du Syndicat du Comité de quartier St Mitre remercie le Maire d'Aubagne au nom des habitants de St Mitre et le félicite de ce résultat.
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Le 12 août 1935, le Président du Syndicat du comité de quartier St Mitre remercie le Maire pour cette intervention rapide alors que lui-même n'a pu obtenir de résultats auprès de la Compagnie.
Il est heureux de cette collaboration profitable.

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Le 9 septembre 1935, vestibulage des voitures, remorque des tramways Marseille—Aubagne, proposition de Monsieur Gatti au Conseil municipal.
Suite à de nombreuses doléances, le devoir de la Compagnie est de ne pas y rester insensible. 
Il constate que les voitures et remorques de la ligne Noailles—Aubagne sont les seules qui ne sont pas encore vestibulées. Considérant que les voyageurs ont à faire un trajet d'une heure entre les deux terminus et pour certains sur la plate-forme, exposés à toutes les intempéries donc à effectuer un long parcours dans des conditions bien pénibles M. Gatti propose que le Conseil émette le vœu que les populations bénéficient du même confort et demande au Maire qu'il intervienne auprès de l'administration de la Compagnie ainsi que des pouvoirs publics nécessaires afin d'obtenir à ce qu'il soit procédé avant la saison d'hiver au vestibulage des voitures et remorques de tramway assurant le service entre Marseille et Aubagne.
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Le 14 septembre 1935, relais de l'information précédente en réunion du Conseil municipal.
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Le 14 septembre 1935, délibération reprenant les arguments en faveur du vestibulage des voitures et remorques de la ligne Marseille—Aubagne.
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Le 18 septembre 1935, revendications des habitants de St Mitre auprès du Maire d'Aubagne, pour l'activation de la construction de l'abri de St Mitre. Ils demandent de prendre les dispositions nécessaires auprès des pouvoirs intéressés.
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Le 18 septembre 1935, à l'approche de la saison d'hiver le Maire d'Aubagne relance le Directeur de la Compagnie au sujet de l'abri de St Mitre Vieux et lui demande la suite qu'il compte donner à cette affaire, en espérant qu'elle sera favorable.
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Le 18 septembre 1935, le Maire d'Aubagne transmet au Directeur de la Compagnie le vœu adopté par le Conseil municipal au sujet du vestibulage des voitures et remorques en service sur la ligne Marseille—Aubagne.
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Le 23 septembre 1935, l'Ingénieur des Ponts & Chaussées informe le Maire d'Aubagne que suite à la demande de la Compagnie l'autorisation de construire un abri voyageurs au débouché sur la route nationale n°8 du boulevard Madame, c'est à dire à 450 m. environ de l'endroit primitivement envisagé.
Chargé de cette affaire, l'Ingénieur des Ponts & Chaussées demande au Maire d'Aubagne ce qu'il pense du nouveau projet de la Compagnie qui intéresse un quartier en voie de développement.
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Le 25 septembre 1935, le Maire d'Aubagne invite un collègue pour parler du nouveau projet d'abri à St Mitre Vieux.
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Le 25 septembre 1935, le Directeur de la Compagnie informe le Maire d'Aubagne que les travaux de construction de l'abri sont prêts à être soumis à l'adjudication. Il n'attend plus que la réponse du Préfet des Bouches-du-Rhône concernant l'abri de La Pérussonne et pense que cette réponse ne tardera pas. 
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Le 28 septembre 1935, le Président du Syndicat des propriétaires de St Mitre écrit au Maire d'Aubagne pour lui faire part de ses réserves quant à l'emplacement de l'arrêt qui au lieu d'être à St Mitre Vieux devrait se trouver en face de l'arrêt facultatif du boulevard Madame.
Il précise que l'importance de cet arrêt le demande car il dessert la plus grande partie de ce lotissement, l'ancien lotissement Sénéa, le lotissement de clos Rufisque en entier et tous les habitants du hameau des Négre et le chemin de Cassis empruntant le chemin dit de la Queirade.
Il demande au Maire de faire le nécessaire auprès de la Compagnie afin qu'elle prenne en considération la présente. 
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Le 28 septembre 1935, réponse du Maire d'Aubagne allant dans le sens de la lettre précédente et qui veut croire que l'administration reconnaîtra le bien fondé de sa demande.
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Le 28 septembre 1935, le Président du comité des intérêts de quartier écrit au Maire d'Aubagne une lettre et confirme l'emplacement de l'abri souhaité en face du clos Rufisque et non pas en face du boulevard Madame qui ne répond pas aux besoins de la majorité des habitants de ce lotissement.
À une période où toute économie est sensible le projet des techniciens de la Compagnie des tramways amènerait à une procédure éventuelle d'expropriation, longue et nullement nécessaire et engagerait les finances de la Compagnie
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Le 28 septembre 1935, le Président du Syndicat des propriétaires de St Mitre écrit au Maire d'Aubagne pour confirmer les revendications formulées verbalement au sujet de l'emplacement de l'abri de St Mitre.
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Le 28 septembre 1935, les revendications du Président du Syndicat des propriétaires de St Mitre.
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Le 2 octobre 1935, le Maire d'Aubagne écrit à l'Ingénieur des Ponts & Chaussées qui le 23 septembre lui avait demandé son avis sur la construction de l'abri de St Mitre. Après avoir consulté les présidents des deux Comité d'intérêt de quartier en donne le résultat :
- pour l'abri dont la construction est envisagée à St Mitre Vieux, face au clos Rufisque, tout le monde est d'accord,
- pour l'abri de la Pérussonne, le Comité d'intérêt de quartier du quartier de St Mitre le préconise sans enthousiasme et le Comité du quartier du Charral n'en voit pas la nécessité,
- quant à l'abri envisagé au débouché du boulevard Madame les deux Comités sus-visés n'en voient pas du tout la nécessité.
Le Maire se conforme entièrement à ces avis.
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Le 7 octobre 1935, un groupe d'Aubagnais écrit au Maire pour qu'il soit l'intermédiaire auprès de la Compagnie afin d'avoir un départ de tramway de Noailles à 4h20 du matin.
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Le 11 octobre 1935, le Maire d'Aubagne informe le groupe d'Aubagnais qu'il a fait suivre la pétition auprès du Directeur de la Compagnie.
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Le 12 octobre 1935, le Maire d'Aubagne transmet la requête au Directeur de la Compagnie.
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Le 21 octobre 1935, réponse du Directeur de la Compagnie qui, malgré son vif désir d'être agréable, ne lui paraît pas possible d'assurer un service à une heure aussi matinale., le premier départ de Noailles étant fixé à 5h20 par l'horaire approuvé par le Préfet et qu'il ne peut modifier. Il signale que les intéressées peuvent prendre la voiture mise à disposition du personnel qui effectue tous les jours un départ à 4h30 de Noailles pour St Pierre où ils pourraient utiliser le train sortant du dépôt à 5 heures pour Aubagne.
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Le 2 novembre 1935, le Maire d'Aubagne demande à l'Ingénieur des Ponts & Chaussées où en est la requête émise par les comités de quartier au sujet de l'abri de St Mitre et de l'établissement d'un arrêt devant l'immeuble du Bras d'Or par rapport à celui existant actuellement à l'entrée de l'hôpital-hospice.
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Le 23 novembre 1935, le Maire d'Aubagne relance le Directeur de la Compagnie au sujet de la demande de départ à 4h20 de Noailles.
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Le 27 novembre 1935, le Directeur de la Compagnie renvoie une copie de sa réponse du 21 octobre.
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Le 5 décembre 1935, l'Ingénieur des Ponts & Chaussées écrit au Maire d'Aubagne pour l'informer que la Compagnie n'attend plus que l'approbation de la Préfecture et l'avance des fonds par le Département.
En ce qui concerne l'arrêt du tramway devant l'immeuble du Bras d'Or il avait cru comprendre que le Maire voulait attendre le doublement de la ligne et l'élargissement de la route.
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Le 10 décembre 1935, le Maire d'Aubagne transmet la réponse de l'Ingénieur des Ponts & Chaussées au sujet des abris.
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Le 2 décembre 1935, le Maire d'Aubagne, suite à la lettre du 11 octobre, fait parvenir au concitoyen la réponse de la Compagnie au sujet du départ de 4h20 de la gare de Noailles.
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Le 9 décembre 1935, le Maire d'Aubagne demande au Directeur de la Compagnie la suite donnée au vestibulage des voitures et remorque sur la ligne de tramway (lettre du 18 septembre).
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Le 18 décembre 1935, les requérants du départ d'un train le matin à 4h20 de Noailles demandent au Maire de transmettre leur demande au Président du Conseil général.
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• année 1936

Le 2 janvier 1936, article de journal dans lequel on apprend qu'à partir du 2 janvier les remorques seront supprimées sur la ligne Noailles—Aubagne aux heures creuses.
Le tableau donne les heures de départ de Noailles et d'Aubagne.
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Le 7 janvier 1936, le Maire d'Aubagne rend compte au président des pétitionnaires de la réponse du Directeur de la Compagnie au sujet de la demande d'un départ à 4h20 de la gare de Noailles et lui signale la possibilité de prendre la voiture mise à disposition du personnel qui effectue tous les jours un départ à 4h30 de Noailles pour St Pierre où ils pourraient utiliser le train sortant du dépôt à 5 heures pour Aubagne. Cette solution obligera les utilisateurs à attendre 25 minutes au dépôt de St Pierre. Pour appuyer cette demande le Maire propose que les pétitionnaires adressent directement leur requête à la Compagnie (deuxième partie de la lettre non retrouvée.)
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Le 9 janvier 1936, le Maire d'Aubagne demande au Directeur de la Compagnie de lui faire connaître à quelle date commenceront les travaux de l'abri de St Mitre Vieux et le doublement de la voie à l'entrée d'Aubagne.
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Le 13 janvier 1936, pour répondre au Conseil municipal, le Maire d'Aubagne demande au Directeur de la Compagnie de bien vouloir lui faire connaître la suite donnée à la demande de vestibulage des voitures et remorques.
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Le 16 janvier 1936, le Directeur de la Compagnie répond au Maire que les discussions sont engagées avec les pouvoirs publics pour l'amélioration des voitures et remorques.
La nécessite de prendre des arrangements avec la Ville de Marseille, au sujet de l'échange de matériel à transformer appartenant aux deux exploitations, a retardé l'exécution des travaux envisagés par la Compagnie. Le Conseil général ayant donné son accord, la Compagnie a mis en train le vestibulage des 16 remorques à utiliser qu'elle compte mettre en service dans les délais les plus courts.
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Le 21 janvier 1936, le Sénateur, Président du Conseil général informe le Maire qu'il a appuyé auprès du Directeur de la Compagnie la demande de départ à 4h20 de Noailles pour permettre aux habitants d'Aubagne qui assurent un service de nuit à Marseille rejoignent au plus tôt leur domicile.
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Le 21 janvier 1936, nouvelle demande du Maire d'Aubagne de transporter des élèves à demi tarif pour assister à une représentation à l'opéra à Marseille. 
Il précise les heures de départs, 13 heures d'Aubagne, retour 18 h de Noailles.
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Le 21 janvier 1936, le Maire d'Aubagne au directeur de l'école que la Compagnie a confirmé qu'elle prendrait toutes les dispositions pour le transport des élèves.
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Le 29 janvier 1936, le Directeur de la Compagnie répond au Sénateur, Président du Conseil général que sa demande sera satisfaite et que dès lundi prochain 3 février un départ aura lieu de Noailles à 4h20.
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Le 30 janvier 1936, même lettre adressée au Maire d'Aubagne.
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Le 30 janvier 1936, Directeur de la Compagnie précise au Maire d'Aubagne que ce nouveau départ de Noailles à 4h20 est assuré à titre d'essai et qu'il serait supprimé si le nombre de voyageurs était insuffisant.
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Le 1^er février 1936, délibération du Conseil municipal d'Aubagne dans laquelle est abordée la suppression des remorques aux trains pendant les heures de moindre trafic et qui serait un inconvénient. Cet état de chose est nuisible à la commodité  du transport  et même en certains cas à la sécurité des voyageurs qui s'entassent littéralement sur l'unique voiture.
Un vœu est demandé au Conseil que la Compagnie veuille bien atteler une remorque afin de faciliter le transport des ouvriers à la sortie des ateliers.
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Le 2 février 1936, extrait du Petit Marseillais informant le public du départ supplémentaire de Noailles à 4h20 du matin.
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Le 5 février 1936, remerciements du Président des pétitionnaires adressés au Maire d'Aubagne pour l'obtention du départ à 4h20 de Noailles.
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Le 13 février 1936, le Maire d'Aubagne adresse au Président des pétitionnaires une copie de la lettre du Directeur de la Compagnie.
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Toujours au sujet de l'abri d St Mitre Vieux.
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Le 27 février 1936, nouvelle demande du Maire d'Aubagne de transporter des élèves à demi tarif pour assister à une représentation à l'opéra à Marseille. 
Il précise les heures de départs, 13 heures d'Aubagne, retour 18 h de Noailles.
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Le 28 mars 1936, séance du Conseil municipal d'Aubagne concernant l'horaire de nuit des tramways sur la ligne Noailles—Aubagne.
L'horaire de nuit sur cette ligne comporte seulement 3 départs (dit trains de théâtre) par semaine. Le Conseil municipal de La Penne a demandé à maintes reprises que ce départ eut lieu quotidiennement. En raison de l'intérêt que la modification demandée présente pour la facilité des relations des populations desservies par cette ligne avec Marseille.
Un vœu est proposé : Les Membres du Conseil d'administration d'Aubagne attirent respectueusement l'attention de MM. 
- le Préfet
- le Député, Conseiller général
- les Membres de l'Assemblée départementale
sur l'urgent nécessité qu'il y a à donner satisfaction aux demandes du Conseil municipal de la Commune de La Penne concernant la question de l'horaire de nuit des tramways de la ligne départementale Noailles—Aubagne et qui sont, à ce jour restés sans résultats.
ces demandes avaient pour but  de faire effectuer :
- un départ à 21h30 de Noailles
- un départ quotidien à 0h40  de la gare de Noailles (dit de théâtre) ; ce service fonctionne sur la majeure partie des lignes de banlieues (notamment ligne des Camoins).
Le Conseil municipal espère que sa démarche sera prise en considération, et qu'au prochain horaire d'été il aura la satisfaction de constater qu'on aura tenu compte de sa réclamation et que satisfaction lui sera donnée.
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Le 28 mars 1936, séance du Conseil municipal reprenant les arguments développés dans sa délibération du 1^er février, à savoir : que la suppression des remorques aux trains pendant les heures de moindre trafic serait un inconvénient. Cet état de chose est nuisible à la commodité  du transport  et même en certains cas à la sécurité des voyageurs qui s'entassent littéralement sur l'unique voiture.
Un vœu est demandé au Conseil que la Compagnie veuille bien atteler une remorque afin de faciliter les transport des ouvriers à la sortie des ateliers.
Un vœu est proposé au Conseil municipal pour qu'une remorque soit attelée aux trains de la ligne Noailles—Aubagne, afin de faciliter le transport et d'assurer le transport des ouvriers à la sortie des ateliers situés sur ce parcours.
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Même proposition du Conseil municipal de La Penne que celle du 28 mars 1936, Conseil municipal d'Aubagne.
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Le 28 mars 1936, la délibération du Conseil municipal d'Aubagne (même arguments).
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Le 3 avril 1936, le Président du Syndicat des propriétaires de St Mitre s'étonne auprès du Maire d'Aubagne de ne pas avoir eu de retour au sujet de l'abri de St Mitre Vieux.
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Le 6 avril 1936, réponse du Maire d'Aubagne qui faute de renseignement adresse la même lettre, ce jour à l'Ingénieur des Ponts & Chaussées.
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Le 6 avril 1936, le Maire d'Aubagne demande à l'Ingénieur des Ponts & Chaussées de bien vouloir le renseigner sur l'affaire de la construction de l'abri de St Mitre Vieux.
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Le 6 avril 1936, le Maire d'Aubagne adresse la même lettre au Conseiller général des Bouches-du-Rhône.
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Le 6 avril 1936, le Maire d'Aubagne adresse la même lettre au Directeur de la Compagnie.
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Document non daté. Grâce à l'activité et aux démarches pressentes de M. le Maire d'Aubagne, la Compagnie des tramways vient de décider la construction d'un abri pour voyageurs empruntant la ligne Marseille—Aubagne, à la station St Mitre Vieux.
Nous sommes heureux  de saisir cette occasion pour exprimer à nos élus  nos vives félicitations  pour leur action (Certainement ce document vient du Syndicat des propriétaires de St Mitre).
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Le 10 avril 1936, Le Directeur de la Compagnie écrit au Conseiller général des Bouches-du-Rhône pour l'informer que toutes les formalités administratives se trouvent réalisées et l'entrepreneur chargé de la construction de ces édifices ayant été désigné par M. Le Préfet, il attend que l'Assemblée départementale mette à sa disposition les sommes nécessaires pour passer à exécution.
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Le 11 avril 1936, le maire d'Aubagne adresse au Conseiller général une copie du vœu adopté le 28 mars par le Conseil municipal, en vue d'obtenir de la Compagnie une rectification de l'horaire de nuit de la ligne Noailles—Aubagne
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Le 11 avril 1936, le maire d'Aubagne adresse la même lettre au Président du Conseil général en ajoutant qu'un vœu identique a été adopté par le Conseil municipal de La Penne qui joint ses efforts pour l'aboutissement de cette légitime réclamation.
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Le 11 avril 1936, le maire d'Aubagne adresse la même lettre à son collègue de La Penne.
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Le 14 avril 1936, le Directeur de la Compagnie écrit au Conseiller général des Bouches-du-Rhône pour l'informer que toutes les formalités administratives se trouvent réalisées et l'entrepreneur chargé de la construction de ces édifices ayant été désigné par M. Le Préfet, il attend que l'Assemblée départementale mette à sa disposition les sommes nécessaires pour passer à exécution.
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Le 17 avril 1936, le Sénateur, Président du Conseil général des Bouches-du-Rhône écrit au Maire d'Aubagne pour l'informer qu'il est intervenu auprès de la Compagnie au sujet de l'horaire de nuit.
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Le 23 avril 1936, le Député des Bouches-du-Rhône écrit au Maire d'Aubagne pour l'informer qu'il est intervenu auprès de la Compagnie au sujet de l'horaire de nuit.
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Le 23 avril 1936, projet d'horaire d'été 1936 pour les lignes Noailles—Aubagne et Préfecture—La Penne.   
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Le 7 mai 1936, le Directeur de la Compagnie écrit au Maire d'Aubagne suite au vœu émis le 28 mars concernant l'horaire de nuit des tramways.
Il rappelle que la Compagnie effectue un départ sur cette ligne à 21h15 de Noailles tous les jours et un départ à 0h40 les jeudis, samedis, dimanches veille et jours de fête.
Il ne lui semble pas désirable de reporter le départ de 21h15 à 21h30 car ce train doublerait jusqu'à la Pomme celui des Camoins qui quitte la gare de Noailles à la même heure.
Concernant le train de théâtre, il résulte d'après les pointages effectués, que ce train est assez utilisé les dimanches et jours fériés (moyenne 78 voyageurs transportés en 1935, de 55 pendant le 1^er trimestre 1936) et les samedis et veilles de fête (moyenne 66 en 1935 et 56 pendant le 1^er trimestre 1936) l'est beaucoup moins les jeudis (moyenne 28 voyageurs transportés en 1935 et de 26 pendant le 1^er trimestre 1936). 
Il est certain que si ce train était mis en service les lundis, mardis, mercredis et vendredis, son utilisation serait ces jours-là encore plus faible que les jeudis et comporterait des résultats  très défavorables au compte de gestion de la ligne d'Aubagne.
Dans ces conditions, la Compagnie estime devoir s'en tenir aux horaires sanctionnés par l'approbation des pouvoirs publics.
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Le 30 mai 1936, séance du Conseil municipal d'Aubagne au sujet de l'horaire de nuit sur la ligne Noailles—Aubagne. Après le vœu émis le 28 mars concernant l'horaire de nuit des tramways et transmis au Préfet, au Sénateur, Président du Conseil général des Bouches-du-Rhône et au Député et information de la lettre du Directeur de la Compagnie, le Conseil prend acte de cette communication et après échange de vue, il décida de demander le maintien de la remorque aux départs dans les deux sens qui ont lieu chaque jour à 21h15 et de renouveler sa demande de départ journalier à 0h40.
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Le 16 septembre 1936, le Président du Syndicat des propriétaires de St Mitre suite à des murmures qui courent au sujet de la construction de l'abri de St Mitre Vieux demande des informations au Maire d'Aubagne
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Le 16 septembre 1936, un habitant désire que le Maire d'Aubagne intervienne auprès de la Compagnie pour qu'une remorque soit ajoutée à la motrice au départ  de Noailles à partir de 10 heures.
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Le 19 septembre 1936, le Maire d'Aubagne écrit au Président du Syndicat des propriétaires de St Mitre pour l'informer que l'Ingénieur d'arrondissement des Ponts & Chaussées lui a répondu que la Compagnie ne voulait pas commencer les travaux tant que le département ne mettait pas les sommes nécessaires à sa disposition. Comme le département est à court de moyens financiers en ce qui concerne sa dette vis à vis de la Commune et l'hôpital-hospice d'Aubagne, il craint qu'il ne donne pas de si tôt les ordres nécessaires à la Compagnie car tous les abris projets sont sur le territoire de sa circonscription.
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Le 19 septembre 1936, le Maire d'Aubagne fait savoir au Député que la Compagnie envisagerait une augmentation  de 28 % des tarifs actuellement en vigueur et lui demande de bien vouloir oeuvrer pour écarter cette éventualité..
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Le 24 septembre 1936, le signataire de la lettre (sans doute Conseiller municipal) a entendu de source très autorisée que la C^ie des Tramways et le Conseil général allait sous peu gratifier la population d'Aubagne et de La Penne d'une majoration des tarifs sur la ligne Noailles—Aubagne, ceci comme conséquence des nouveaux tarifs dont Marseille  a été doté par son Conseil municipal.
Il pense que, sans que la Commune n'ait à s'ingérer dans les affaires de la cité voisine, la municipalité a le devoir d'intervenir dans celles du département et demandera que l'Assemblée se prononce catégoriquement sur cette question. 
Il développe les arguments selon lesquels, tout en reconnaissant  comme légitime les revendications du personnel de la Compagnie, il est illogique que l'on en fasse supporter les conséquences aux usagers, qu'il est inadmissible que l'on prenne le prétexte  d'un déficit fantaisiste pour justifier cette mesure contraire à la doctrine du Front Populaire, alors que les actionnaires de la Compagnie se partagent actuellement de généreux dividendes. Le Conseil général ne doit pas approuver une telle façon de procéder.
Il ajoute qu'on ne peut admettre qu'à une époque toute nouvelle, où l'on veut adopter des tactiques toutes nouvelles, des méthodes nouvelles, qu'on soit encore emprisonné dans des conceptions anciennes et périmées.
Il proposera à la prochaine Assemblée municipale, l'adoption d'un vœu dans ce sens.
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Le 26 septembre 1936, le Maire d'Aubagne transmet au Directeur de la Compagnie le souhait de voir une remorque attelée à la motrice du tramway assurant chaque départ journalier en gare de Noailles pour Aubagne à partir de 10 heures du matin au lieu de midi dans l'intérêt des voyageurs.
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Le 6 octobre 1936, délibération du Conseil municipal dans laquelle, 
- avertis de l'augmentation proposée par la Compagnie des Tramways de Marseille—Aubagne,
- s'étant ému du pourcentage de cette augmentation qui touchera doublement ceux des voyageurs obligés d'utiliser les lignes urbaines, à tarif majorés, 
- considérant que les tramways constituent le seul moyen de transport des classes laborieuses, 
- persuadés qu'il y a lieu de régler les difficultés actuelles par des méthodes nouvelles rompant avec la routine et les conventions anciennes et périmées, 
- estimant que les revendications du personnel du tramway devrait surtout être supportées par la Compagnie,
- émettent le vœu à l'unanimité que les tarifs en vigueur sur la ligne Marseille—Aubagne ne soient pas majorés .
D'autre part dans le but de faciliter les usagers quotidiens des trains ouvriers, ils demandent instamment, l'institution (à l'instar de la Compagnie P.L.M.) d'une carte d'abonnement hebdomadaire à prix réduit et une plus juste et plus rationnelle évaluation des tarifs appliqués aux parcours, en particulier sur le trajet Aubagne—Marseille.
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Le 7 octobre 1936, suite à la transmission des doléances du Conseil municipal d'Aubagne, le Directeur de la Compagnie fait remarquer au Maire que les trains au départ de 11 heures d'Aubagne comportent une remorque.
D'autre part, les relevés et pointages de voyageurs effectués ne font pas ressortir de surcharge entre 10 heures et 11 heures. Le service assuré paraît donc suffisant.
Toutefois, désireux de tenir compte de la bienveillance du Maire, il ne manquera pas de suivre cette question et d'adapter le service au mouvement des voyageurs.
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Le 13 octobre 1936, le Maire d'Aubagne transmet la réponse du Directeur de la Compagnie à son solliciteur.
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Le 14 octobre 1936, le Maire d'Aubagne adresse au Sénateur, Président du Conseil général une copie de la délibération du 6 octobre dans laquelle le Conseil à l'unanimité s'oppose à l'augmentation des tarifs de la Compagnie de tramways et lui demande de se joindre à ses efforts.
Il lui adresse ses remerciements.
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Le 14 octobre 1936, le Maire d'Aubagne adresse au Préfet une copie de la délibération du 6 octobre dans laquelle le Conseil à l'unanimité s'oppose à l'augmentation des tarifs de la Compagnie de tramways et sollicite sa bienveillance.
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Le 21 octobre 1936, le Maire d'Aubagne adresse au Député une copie de la délibération du 6 octobre dans laquelle le Conseil à l'unanimité s'oppose à l'augmentation des tarifs de la Compagnie de tramways et lui de se joindre à ses efforts.
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Le 5 décembre 1936, Président du Syndicat des propriétaires de St Mitre écrit au Maire d'Aubagne pour l'informer de la nouvelle composition de son Conseil d'administration et attire son attention sur l'installation de l'abri de St Mitre Vieux que les pouvoirs publics ont maintes fois promis. À l'approche d'un hiver peut-être rigoureux, il serait utile qu'une décision définitive soit prise concernant cette question.
Le reste de la lettre ne concerne pas le tramway.
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Le 17 décembre 1936, le Maire d'Aubagne transmet les doléances du Président du Syndicat des propriétaires de St Mitre au Directeur de la Compagnie et lui demande de bien vouloir instamment faire entreprendre les travaux.
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Le 23 décembre 1936, le Maire d'Aubagne transmet au Directeur de la Compagnie un vœu du Conseil municipal tendant à la création, les jours de travail, de deux départs de tramways, l'un à 5h50 et l'autre à 6h10.
Cette modification de l'horaire faciliterait à de nombreux ouvriers leur entrée à l'atelier dans le meilleurs conditions sans s'exposer aux rigueurs de la température.
Le transfert à St Marcel des usines d'Aubagne de la S^té des Établissements Coder Frère¹ va augmenter d'autre part sensiblement le nombre déjà important des ouvriers qui utilisent le réseau pour se rendre à leur travail.
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Le 29 décembre 1936, brouillon rappelant l'urgence de la construction de l'abri de St Mitre Vieux en raison du grand nombre d'enfants du quartier qui fréquentent l'école de Camp Major.
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Le 29 décembre 1936, une fois de plus, le Directeur de la Compagnie précise au Maire d'Aubagne que par suite des répercutions sur le coût des travaux des bâtiments, des nouvelles dispositions législatives concernant la main-d'œuvre, la question de la construction d'abris à voyageurs sur la ligne d'Aubagne est entièrement à reprendre. 
De ce fait il se trouve dans l'obligation d'attendre la décision de l'Assemblée départementale avant de pouvoir donner suite à cette demande.
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