Le carnet du CFC
Le Petit Train du Parc Floral d'Orléans-La Source - 9/11
MAD
Correspondance avec les Modélistes Ferroviaires du Centre
Cette correspondance parcellaire entre M. Clappier, Secrétaire administratif de l'AFO et M. Schwaederle, Président de A.M.F.C. montre bien que l'Association des Modélistes ferroviaires du Centre a considérablement aidé celle du parc floral à la construction du chemin de fer à l'intérieur du Parc de la Source. Cette collaboration étroite et amicale a été entachée par des propos non retrouvés suite à l'accident du 6 août 67. M. Clappier regrette vivement en réaffirmant combien il a été heureux d'avoir fait sa connaissance et d'avoir bénéficié des conseils et suggestions qu'il lui a prodigués en ce qui concerne le petit train.
Archives départementales du Loiret, cote 1848 w 40
Le 15 mai 1966, M. Schwaederle, Président de A.M.F.C.
écrit au Secrétaire administratif de l'AFO pour lui rendre compte de sa visite
de la voie au Parc floral et principalement de la partie comprenant la descente
et la courbe aboutissant devant l'entrée du parc à l'emplacement que sera le
point de départ du circuit.
Il lui communique que ses craintes, au sujet qu'il avait au sujet de cette
partie, ne son pas fondées, que la descente s'amorce assez loin sur le haut du
talus et s'enfonce dans une tranchée en courbe fort bien faite et d'inclinaison
non excessive. La pose de la voie est parfaitement normale.
Un seul point a attiré son attention, dans la courbe du bas équipée de
contre-rail le dévers est insuffisant. Il sera aisé d'y remédier en bourrant
sous les traverses.
Par ailleurs il propose de se rendre à Saint-Denis-de-l'Hôtel pour voir le
locotracteur (Ex
LT1 du T.P.T.) et
examiner la question de la dynamo. Il en profitera pour voir également les
wagons en cours de transformation.
Il lui rappelle ses dispositions pour l"aménagement du petit chemin de
fer.
Archives départementales du Loiret, cote 1848 w 40
Le 18 mai 1966, M. Clappier, Secrétaire administratif de
l'AFO écrit à M. Schwaederle, Président de A.M.F.C. pour lui exprimer ses
vifs remerciements touchant la pose de la voie dans le parc floral.
Concernant, les Établissements Cadoux, il préférerait laisser passer un temps
libre, suite à une documentation que ces derniers lui ont envoyée et pour
laquelle, il lui serait utile d'avoir un entretien.
Archives départementales du Loiret, cote 1848 w 40
Le 13 janvier 1967, M. Schwaederle, Président de A.M.F.C.
écrit à M. Clappier, Secrétaire administratif de l'AFO pour le
féliciter au sujet des comte-rendus et discours relatifs au Floralies d'Orléans.
Il regrette néanmoins l'absence d'allusions au sujet du petit train qui pour
lui représente la première attraction. L'oubli systématique est assez
décourageant pour tous ceux qui ont contribué à sa réalisation (personnel de
l'AFO, la F.A.C.S, les Établissements Cadoux, etc.).
Archives départementales du Loiret, cote 1848 w 40
Le 8 février 1967,
M. Clappier écrit à M. Schwaederle qu'il serait heureux de le rencontrer pour
aborder les sujets évoqués pour que le petit train fonctionne dès
l'ouverture, dans de bonnes conditions.
Il le remercie à nouveau de l'intérêt qu'il porte à cette manifestation (les
Floralies) et de l'appui efficace qu'il n'a jamais ménagé.
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Le 8 mars 1968, M. Schwaederle
envoie copie d'un article de "La Vie du Rail" à M. Clappier.
Archives départementales du Loiret, cote 1848 w 40
Le 11 mars 1968, M.
Clappier remercie M. Schwaederle de sa lettre du 8 mars et l'article paru
dans "La Vie du Rail".
Il l'informe que dorénavant, c'est la S.E.M.E.P.O. qui prend le relais.
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Extrait de "La Vie du Rail" du 10 mars 1968 sur le transfert du Chemin de fer de Meyzieu
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Le 21 septembre 1967,
M. Clappier écrit à M. Schwaederle pour lui rappeler que les Floralies vont
fermer leurs portes le 15 octobre 1967 et que l'AFO envisage la revente du
matériel ferroviaire. Il le sollicite en tant que mieux placé pour les
contacts avec des acheteurs éventuels.
Il lui propose de le rencontrer pour en parler.
Archives départementales du Loiret, cote 1848 w 40
Le 26 septembre 1967, (M. Schwaederle) sur son lieu de vacances répond à M. Clappier qu'il faudra attendre son retour à Orléans, entre le 10 et le 15 octobre) pour en parler avec des éléments qui lui manquent sur son lieu de vacances.
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Le 15 octobre 1967, M. Schwaederle
écrit à M. Clappier pour lui faire part, que suite à la réunion qu'il a
eu avec le bureau de l'AMFC, concernant la revente du matériel et la
sollicitation de l'AMFC pour son aide, il propose de faire un point au sujet du
Comité floral qui l'a soigneusement écarté pour réaliser l'implantation du
chemin de fer, en ne tenant aucun compte du travail effectué par son
association.
Il a même appris que suite au malheureux accident, que ses connaissances
ferroviaires avaient été mises en doute, ce qui est de la mauvaise foi, vu que
ce qui a été réalisé était loin de ses propositions soumises.
Cette carence du Comité a abouti à une exploitation lamentable indéniable.
Pour toutes ces raisons, les membres du bureau de l'AMFC le charge de répondre qu'il ne faut
pas compter sur une collaboration en vue de rechercher d'éventuels acquéreurs.
Il précise que ces propos ne le concerne pas et qu'il garde un bon souvenir de
la collaboration personnelle qu'il a eu avec lui.
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Le 30 octobre 1967, M. Schwaederle écrit à M. Secretain, Maire d'Orléans
Archives départementales du Loiret, cote 1848 w 40
Le 2 novembre
1967, M. Schwaederle écrit à M. Secretain, Maire d'Orléans pour
l'informer de l'échange épistolaire entre son Association et l'AFO.
Il lui fait connaître que suite à l'accident, il a été convoqué par
Monsieur le Commissaire central qui a reçu sa déposition et qu'il a prié de
joindre l'étude d'implantation qu'il a faite et remise au Comité floral ainsi
que la copie d'une lettre du 15 mai 1966, relative à la courbe où s'est
produit l'accident.
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Le 2 novembre 1967, M. Secretain, Maire d'Orléans écrit à M. Turbat, Président de l'AFO pour l'informer du courrier de M. Schwaederle et copie de sa réponse "prudente", ne sachant exactement ce qui s'est passé.
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Le 21 novembre 1967, M. Clappier répond à M. Schwaederle à sa lettre du 15 octobre 1967.