Mémoire de la ligne
Rueil-Gare—St Germain-en-Laye
par Chatou - ligne 60 - 2/11
8,305 Km.
Marc André Dubout
Le
25 mars 1896 projet de construction d'une gare de marchandises à la gare de
Rueil. M. le Maire de Rueil déclare que les communes de Nanterre et Chatou sont
intéressées par ce projet.
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Le matériel au temps des T.E.M.P.
Extrait du journal "Le tramway" du 3 décembre 1900
Le
4 octobre 1903 dans le registre des délibérations, le Conseil municipal de
Rueil a
entamé des pourparlers avec la Cie de l'Ouest pour l'élargissement
du pont.
Par suite du raccordement du tramway du Pecq avec celui de Rueil-Gare, le
passage restant libre pour les voitures automobiles et autres qui passent sous
ce pont, arrive que pour le plus grand nombre de cyclistes et de piétons se
trouve diminué et dès la mise en marche du tramway du Pecq, la circulation sur
ce point va présenter un danger pour tous, auquel il faudrait parer au plus
tôt par la réfection complète du pont ou tout au moins en créant sous la
voie un passage pour les piétons.
Le Conseil demande donc de prier le Maire de faire des démarches auprès de M.
le Préfet, afin que l'autorité départementale veuille bien intervenir et s'y
intéresser tout particulièrement, notamment en prenant à sa charge une part
dans la dépense et auprès de la Cie des Chemins de fer de l'Ouest.
M. le Maire rappelle les démarches qu'il a faites au Conseil général et
auprès de la Cie des Chemins de fer de l'Ouest, ainsi que celles qui
ont été faites antérieurement. Il donne lecture de la lettre de M. le
Ministre des Travaux publics à M. le Préfet de Seine-&-Oise en réponse au
vœu émis par le Conseil général.
Cette réponse rappelle la décision ministérielle du 30 novembre 1897
reconnaissant que l'amélioration réclamée ne peut être réalisée qu'aux
frais exclusifs des intéressés (communes, département) sans aucune
participation de la Cie qui fait remarquer que lorsque le développement de la
circulation sur les routes et chemins nécessitent la modification des ouvrages
établis à la rencontre des voies ferrées, il est de jurisprudence constante
qu'il appartient aux intéressés de supporter les frais de cette amélioration.
Il est fait observer que la Cie ne saurait se désintéresser de la question que
le pont du chemin de fer qui a été construit, alors qu'il n'y avait pas encore
de gare à Rueil, et à une époque où, par suite, la circulation sur le chemin
n°39 était insignifiante, présente aujourd'hui un passage à peine suffisant
pour les voitures, les automobiles et les vélocipèdes, que l'établissement
d'une ligne de tramway va rendre l'accès à la gare extrêmement dangereux pour
les piétons et qu'il y a lieu d'être surpris de voir la Cie des Chemins de fer
de l'Ouest qui retire tout le bénéfice de cette importante circulation se
désintéresser de cette question d'accès.
Le Conseil à l'unanimité adjure l'Administration supérieure d'examiner avec
soin la situation qui va être créée aux voyageurs par l'établissement de la
nouvelle ligne de tramway et de faire faire une enquête sur place pour établir
que c'est à la Cie de l'Ouest que revient la plus grande partie du bénéfice
de cette circulation et qu'elle ne peut par suite se désintéresser de la
question.
Une courte section longue de 383 m. Rueil-Gare—Pont
de Chatou fut construite en 1903 donnant à la ligne sa configuration finale :
Rueil-Ville—St
Germain par Chatou, Le Vésinet et Le Pecq. La ligne est exploitée par les
Tramways de Paris et du Département de la Seine (1890-1921).
L'indice de la ligne est alors SGCMO.
Il a fallu attende 1914 pour que le prolongement Le Pecq—Saint
Germain soit construit
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La création de cette courte
section a désorganisé les correspondances entre les horaires du tramway et de
la Compagnie de l'Ouest.
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Le
1er octobre 1903, le Président et le Secrétaire de l'Union
syndicale du Commerce & industrie de Rueil et du canton de Marly signent une
lettre au Maire du Vésinet, l'informant que dans son Assemblée générale du
18 septembre dernier Union syndicale a adopté différents vœux qu'ils lui
adressent concernant :
- le raccordement de la ligne de tramway d'Argenteuil—Houilles avec celle de
Rueil—Le Pecq. Ils joignent un tableau de la population des communes
traversées par ladite ligne (non construite) ainsi qu'un tableau des distances
entre Argenteuil et Rueil qui indiquent l'itinéraire ;
- le raccordement de la ligne de tramway du Pecq—Rueil avec celle de
Suresnes —Porte Maillot3.
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Le 1er janvier 1904, tableau de la marche des trains au service d'hiver au 1er janvier 1904 des lignes :
Le
13 mars 1904, le Chef du Service de la voie écrit au Conducteur des Ponts
& Chaussées de Saint Germain en réponse à sa lettre du 11 mars pour lui
faire connaître que le fournisseur de bancs des haltes de la ligne du Pecq est
M. B. Entrepreneur à Rueil, 308 avenue de Paris.
Le prix à forfait comprenant : construction, fourniture, pose, terrassement,
scellements, peinture a été fixé à cent quatre vingt francs par banc.
Seule l'inscription n'a pas été comprise dans le prix et a été faite
par un peintre de la Compagnie.
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municipales du Vésinet
Le
14 avril 1904, le Directeur général des T.M.E.P. informe le Maire
du Vésinet qu'il n'est pas possible pour la Compagnie de modifier les affiches
horaires, qui sont celle en usage dans toutes les Compagnies de transport, une
installation plus stable étant en contradiction avec les divers changements
d'horaires à chaque commencement de saison.
Archives
municipales du Vésinet
Le 26 avril 1904, le Préfet de Seine-&-Oise répond au Maire du Vésinet au sujet des pétitions par lesquelles de nombreux habitants du boulevard Carnot se plaignent du bruit excessif que font les locomotives du tramway de Rueil—Chatou—Le Pecq.
1904,
projet manuscrit de pétition à faire circuler et signer par les riverains du
boulevard Carnot (au Vésinet).
Monsieur, le Préfet, les soussignés propriétaires ou locataires d'un immeuble
situé le long du boulevard Carnot (route de Paris à St Germain) dans la
traversée du Vésinet ont l'honneur de vous informer qu'une enquête a été
ouverte il y a plusieurs années pour l'installation d'un tramway électrique le
long de leurs propriétés et qu'ils n'ont élevé aucune protestation contre
une création qui pouvait offrir divers avantages pour eux et peu
d'inconvénients, le bruit notamment étant presque nul dans ce genre
d'exploitation.
Après des vicissitudes diverses, c'est un tramway à vapeur qui a été mis en
exploitation récemment sur la ligne projetée et non seulement ce tramway fait
largement le bruit qui est inséparable d'un matériel suranné comme celui qui
est employé mais encore l'échappement de la vapeur dans la cheminée produit
une ronflement strident, presque permanent dans la traversée du Vésinet et ce
ronflement est aussi insupportable pour les voyageurs que pour les riverains et
passants.
Les soussignés seraient prêts à souffrir pendant un temps raisonnable, le
bruit normal et inévitable des locomotives à vapeur, en attendant avec
patience que le succès du tramway permette à la Compagnie de se procurer un
matériel moderne comme celui qui circule dans Paris qui ne fait pas plus de
bruit qu'un matériel électrique mais il est impossible aux soussignés
d'accepter d'avoir leurs oreilles détruites à chaque vingt minutes par le
ronflement dont ils ont parlé.
Ce n'est pas à eux qu'il appartient d'imaginer les moyens de briser à
l'échappement de vapeur à son entrée dans la cheminée de façon à empêcher
la formation des ondes vibratoires qui sont la cause du mal. Il suffira à la
Compagnie de vouloir pour que cet inconvénient disparaisse et ils comptent sur
la fermeté du préfet pour obtenir que cette amélioration soit réalisée dans
un cour délai.
Archives
municipales du Vésinet
Le
2 mai 1905, le
Maire de Rueil confirme à son collègue de Chatou qu'il approuve dans toutes
ses parties le projet de lettre qu'il propose d'adresser à M. le Directeur de
la Cie des Tramways de
Paris et du Département de la Seine (T.P.D.S.)
comme suite à leur conversation de dimanche dernier.
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Le
5 octobre 1905, Le Directeur général des T.M.E.P. accuse réception de la
lettre du Maire de Chatou par laquelle il lui transmet le désir exprimé par
son Conseil municipal au sujet d'un arrêt facultatif à établir rue de Saint
Germain, à la hauteur de la caserne de Gendarmerie.
Bien qu'il n'y ait pas intérêt, au point de vue de l'exploitation, à
trop rapprocher les arrêts, la Compagnie est disposée à donner satisfaction
à la demande adressée et va prendre, accord avec le Service du Contrôle, les
dispositions nécessaires à l'établissement de cet arrêt.
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Le
3 novembre 1905, affiche de l'enquête d'utilité publique concernant
l'établissement d'un arrêt facultatif rue de Saint Germain à Chatou.
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Le
23 mai 1908, le Patron du Grand Garage du Vésinet Fasquelle adresse au
Directeur de la Cie des Tramways une lettre lui rappelant que lorsque
la Cie avait commencé l'exploitation de la ligne, elle avait mise en
service une locomotive infernale, laquelle par son bourdonnement rendait
malade les habitants du boulevard (Carnot). À la suite de nombreuses plaintes
de Monsieur L. de P. a fait une demande qui a abouti à interdire la
circulation de cette machine dans la traversée du Vésinet.
L'
Le
25 mai 1908 suite à la lettre du Directeur de la Compagnie du Tramway à vapeur
de Paris à Saint Germain (P.S.G.) le Maire du Vésinet propose alors au Conseil
municipal de voter la motion suivante :
Les membres du Conseil municipal du Vésinet émettent le vœu que M. le Préfet
de Seine-&_Oise, veuille bien intervenir auprès de la Compagnie des
Tramways Le Pecq—Rueil en faveur des riverains du boulevard Carnot et obtienne
de cette Compagnie la transformation ou la mise en réforme de machines qui lors
de leur passage font un tel bruit qu'il en résulte une sorte de trépidation
même dans les maisons situées à une certaine distance de la voie.
Sur la proposition de M. le Maire, le Conseil charge MM. P. et L de remettre à
M. le Préfet la pétition des habitants du Vésinet et la délibération du
Conseil municipal.
Pour extrait certifié conforme au registre des délibérations.
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Le 7 juillet 1908, le Maire de Chatou informe son collègue du Vésinet qu'il a
pris bonne note de la lettre qu'il lui a adressée au sujet du bruit provoqué
par la circulation du matériel défectueux dont se sert la Compagnie de
Tramways du Pecq à Rueil. Il lui indique qu'il s'empresse d'écrire à la
Compagnie dans le même sens en lui demandant aussi d'assurer un service plus
régulier et aux heures exactes annoncées par l'horaire et de prendre un petit
local qui va être bientôt être libre en face de la Mairie de Chatou, local
qui servirait d'abri et de salle d'attente aux gens qui attendent le passage du
tramway.
Cette dernière mesure rendrait de grands services les jours de pluie aux
nombreuses personnes du Vésinet qui viennent à Chatou pour leurs affaires ou
pour le marché.
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municipales du Vésinet
Le
21 juillet 1909, arrêté préfectoral :
- Article 1. Autorisant à la Cie des Tramways de Paris à
Saint-Germain à établir au voisinage immédiat de la gare du Pecq (Chemin
de grande communication n°15) sur le passage supérieur du point kilométrique
18+083 sous le trottoir, côté St Germain, du pont de la route de Montesson,
une canalisation électrique souterraine devant porter du courant triphasé
d'une intensité de 60 ampères et présentant une tension efficace de 5,500
volt, à charge par elle de se conformer aux conditions du présent arrêté,
aux règlements concernant la police des chemins de fer et aux règlements ou
arrêtés édictés en exécution de la loi du 15 juin 1906, notamment à
l'arrêté ministériel du 21 mars 1908 dont un extrait (chapitre II, section
II) est annexé au présent arrêté.
- Article 2. La canalisation sera formée de 2 câbles armés de 3 conducteurs
chacun à poser dans une gaine en tôle ayant la longueur du pont et logée dans
l'épaisseur du trottoir, côté Saint Germain.
- Article 3. Néant
- Article 4. L'établissement et l'entretien des ouvrages de la traversée
seront exécutés aux frais exclusifs de la Cie des Tramway de Paris
à Saint Germain soit par ses propres soins, sous la surveillance des agents du
chemin de fer, de manière à ce qu'il résulte aucun obstacle ni aucun danger
pour la circulation, ni aucun frais pour la Compagnie soit, pour tout ou partie,
par ladite Compagnie elle-même, si elle le demande ou si le Service du
Contrôle du chemin de fer le requiert.
Le coût des travaux, ainsi que tous les frais de gardiennage, éclairage,
surveillance, vérification des installations, etc. exposés par elle à
l'occasion de l'établissement ou de l'entretien des installations, lui seront
remboursés par la Compagnie permissionnaire dans le mois de leur achèvement,
avec une majoration de 15 % pour frais généraux et intérêts.
- Article 5. La Compagnie des Tramways de Paris à Saint-Germain payera à
la Compagnie des chemins de fer, pour la traversée du chemin de fer, une
indemnité annuelle de dix francs.
- Article 6. La Compagnie des Tramways de Paris à Saint-Germain devra,
toutes les fois qu'elle en sera requis par le Service du Contrôle de la
distribution d'énergie, pour un motif de sécurité publique ou dans
l'intérêt de la circulation sur le chemin de fer, opérer à ses frais le
déplacement des parties de canalisations qui seront désignées. Il n'en
résultera pour elle aucun droit à indemnité.
- Article 7. En cas d'expiration ou de retrait de la présente autorisation, la
Compagnie permissionnaire sera tenue d'enlever à ses frais et sans indemnité
toutes les installations de la traversée et de rétablir les lieux en leur
état primitif. Toutefois, elle pourra abandonner les canalisations
souterraines, à condition qu'elles n'apportent aucune gène pour les services
publics.
- Article 8. La présente autorisation sera considérée comme périmée s'il
n'en a pas été fait usage dans le délai d'un ana à dater de sa notification.
Archives
municipales du Vésinet
Le
23 novembre 1909, M. le Préfet de Seine-&-Oise vu la lettre en
date du 23 octobre 1909 par laquelle M. le Maire de Chatou expose que la
construction d'un égout communal dans la partie de la rue de la Paroisse
comprise entre l'Impasse du Puits et la Place de la Paroisse, à Chatou,
nécessitera l'interruption de la circulation de trains de la ligne du tramway
de Rueil au Pecq, dans ladite rue de la Paroisse pendant 15 jours environ, et
demande que cette interruption soit autorisée ;
- vu la lettre en date du 9 novembre 1909 par laquelle L. le Directeur de la Compagnie des Tramways de Paris à Saint-Germain
déclare s'opposer à l'organisation du service par transbordement des voyageurs
de part et d'autre du chantier à ouvrir et propose de suspendre la circulation
des trains entre Rueil-Gare et Le Pecq ;
- vu la lettre en date du 16 novembre 1909 par laquelle M. le Maire de Chatou
fait connaître qu'il accepte la proposition de la Compagnie ;
- vu les rapport et avis du Service du Contrôle des 15, 17, 18 novembre 1909 :
- considérant que l'exécution en galerie des travaux de construction de
l'égout communal de la rue de la Paroisse (route nationale n°190) comporte,
pour la partie comprise entre l'Impasse du puits et la Place de la Paroisse,
l'établissement d'un puits d'aération et de service placé sensiblement dans
l'axe de la voie du tramway ;
- que cette disposition inévitable entraîne nécessairement l'arrêt de la
circulation des trains pendant la durée des travaux évalués à 15 jours
environ dans la partie sus-désignée ;
- considérant que l'exécution récente des travaux de réfection de
revêtement de la chaussée de la route nationale n°190 a nécessité pour la
même ligne de tramways l'organisation d'un service par transbordement avec
refoulement des trains de part et d'autre du chantier jusqu'aux garages les plus
proches ; que la répétition à deux mois d'intervalle de ce dispositif
d'exploitation en navette pourrait constituer une gêne et une charge assez
onéreuse pour la Compagnie et pour ces motifs il y a lieu d'y renoncer.
- considérant que la suspension totale du service des trains sur toute la ligne
paraît être la meilleure solution ; qu'en raison de l'époque à laquelle vont
être exécutés les travaux, cette suspension de service causera le minimum de
préjudice au public ;
Arrêtons :
Article 1. - Pendant le délai strictement nécessaire à l'exécution des
travaux de construction d'un égout communal, dans la partie de la rue de la
Paroisse comprise entre l'Impasse du Puits et la Place de la paroisse, la
circulation des trains sur la ligne du tramway de Rueil au Pecq sera suspendue
entre les stations de Rueil et du Pecq.
Article 2. - Des avis spéciaux et des copies en placards du présent arrêté
seront affichés très visiblement aux différentes stations de la ligne, par
les soins de la Compagnie, pour renseigner le public.
Article 3. - M. le Secrétaire général de la Préfecture et M. l'Ingénieur en
chef du Contrôle sont chargés, en ce qui le concerne d'assurer l'exécution du
présent arrêté qui sera notifié par les soins du Contrôle à la Compagnie
intéressée, et dont ampliation sera adressée à MM. les Maires des communes
de Rueil, Chatou, Le Vésinet et Le Pecq.
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Le
24 novembre 1909, extrait du registre des délibérations du Conseil
municipal du Vésinet concernant une pétition relative au tramway de Rueil
au Pecq.
M. le Maire communique au Conseil municipal une pétition revêtue de 80
signatures environ par laquelle les pétitionnaires sollicitent de l'autorité
supérieure, son intervention auprès de la Compagnie des Tramways de Rueil au
Pecq pour faire retirer du service deux locomotives qui par le bruit qu'elles
produisent indisposent les habitants et causent un préjudice important
aux propriétaires situés en bordure du boulevard Carnot.
M. le Maire fait connaître qu'il est également intervenu pour le même motif
auprès de la Compagnie sans résultat, il rappelle qu'il a écrit le 23 mai
1908 à M. le Directeur de la Compagnie des T.M.E.P. par la lettre suivante :
J'ai reçu plusieurs
plaintes relatives à la mise en exercice sur la ligne du tramway du Pecq à
Rueil qui traverse notre ville, d'une machine particulière qui fait un bruit
insupportable.
Je vous serais obligé de vouloir bien la faire remplacer, le plus tôt qu'il
vous sera possible par une autre machine d'un type courant".
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