Mémoire de la ligne
La ligne Épinay—Trinité - (54) - 3/15
Marc André Dubout
Épinay—Trinité
:
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Année 1900
Le
15 mai 1900, la Compagnie des Tramways Électriques transmet son plan de
l'aubette de 4 m. par 2,50 m.
Archives municipales d'Épinay
Le
15 mai 1900, la Compagnie des Tramways Électriques transmet son plan de
l'aubette de 4 m. par 3 m. et 3 m. par 3 m.
Archives municipales d'Épinay
Les
plans de traverses.
Archives municipales d'Épinay
Le
4 juillet 1900, l'Administrateur délégué de la Compagnie des Tramway Électriques
- De Paris à Saint Denis, Épinay, Enghien et Extensions écrit au Maire de
Saint Denis pour l'informer que MM. Claret et Vuilleumier, les concessionnaires
primitifs de la ligne Épinay—Trinité lui ont bien fait parvenir en son temps
la lettre du Maire de Saint Denis du 12 mai et il leur répondra en lui
indiquant de quelle façon il lui est possible à la Compagnie de donner
satisfaction.
Cette dernière serait disposée à établir sur deux des poteaux qu'elle doit
planter en face de la salle des fêtes, des foyers lumineux composés chacun de
5 lampes à incandescence de 16 bougies soit pour chaque foyer une intensité de
80 bougies.
La Compagnie fournira gratuitement le courant nécessaire à ces lampes pendant
les heures d'activité de l'exploitation.
Toutefois elle ne saurait prendre à sa charge l'entretien de ces appareils, ni
encourir vis à vis de la ville de Saint Denis aucune responsabilité
relativement à la fixité de l'éclairage étant donné que l'alimentation de
ces foyers devra être délivrée du circuit établi pour la traction de
voitures.
Dans le cas où le Maire jugerait convenable que ces foyers fussent installés
dans des candélabres distincts des poteaux de la Compagnie, cette dernière
ferait la même installation étant bien entendu que ces candélabres seraient
acquis et mis en place la Ville de Saint Denis.
Archives municipales de Saint Denis
Le
1er août 1900, le Préfet de la Seine adresse au Maire d'Épinay
ampliation de l'arrêté par lequel il a prescrit l'ouverture d'une enquête sur
un projet tendant à l'établissement de deux embranchements de la ligne de
tramway Épinay—Trinité entre Saint Denis et Écouen et entre Saint Denis et
Taverny .
Il lui adresse en même temps un dossier destiné à être soumis au public
ainsi que les affiches à placarder.
Aux termes de son arrêté précité l'enquête devra rester ouverte du 10 août
au 10 septembre 1900 inclusivement.
Il sera ouvert en même temps des registres sur lesquels les intéressés
pourront consigner leurs observations.
Des procès-verbaux constateront l'ouverture et la clôture de ce registre.
À l'expiration du délai fixé pour la clôture de l'enquête le Maire devra
soumettre le résultat de l'instruction au Conseil municipal et renvoyer le
dossier de l'affaire à la Préfecture en ayant soin d'y joindre deux copies de
la délibération qui a été prise.
Aucun de ces
deux embranchement ne furent réalisés.
Archives municipales d'Épinay
Le
2 août 1900, le Préfet de la Seine adresse au Maire de Saint Denis, ampliation
d'un arrêté par lequel il a prescrit l'ouverture à la Mairie de Saint Denis
d'une enquête sur un projet tendant à l'établissement de deux
embranchements sur la ligne de Tramways Épinay—Trinité entre Saint Denis et
Écouen et entre Saint Denis et Taverny.
Il lui adresse en même temps un dossier destiné à être soumis au public
ainsi que les affiches qui devront être placardées suivant l'usage.
Au terme de l'arrêté précité l'enquête devra restée ouverte du 19 août au
10 septembres 1900 inclusivement.
Il sera ouvert en même temps des
registres sur lesquels les intéressés pourront consigner leurs observations.
Des procès-verbaux constateront l'ouverture et la clôture de ce registre.
À l'expiration du délai fixé pour la clôture de l'enquête le Maire devra
soumettre le résultat de l'instruction au Conseil municipal et renvoyer le
dossier de l'affaire à la Préfecture en ayant soin d'y joindre deux copies de
la délibération qui a été prise.
Aucun de ces deux
embranchement ne furent réalisés.
Archives municipales de Saint Denis
Le
8 août 1900, le Préfet de la Seine, vu les projets présentés en vue de l'établissement
de deux embranchements de la ligne de tramways Épinay—Paris (place de la
Trinité) entre
- Deuil et Écouen
- Saint Denis et Taverny,
vu la décision en date du 30 mars 1899 qui a déclaré d'utilité publique l'établissement
d'une ligne de tramway entre Épinay et Paris (place de la Trinité),
vu le rapport de l'ingénieur du Contrôle des tramways,
vu la circulaire de M. le Ministre des Travaux publics en date du 9 octobre
1899,
vu la loi du 11 juin 1889,
vu le décret du 18 mai 1881
arrête :
Article premier. - Il sera procédé à l'enquête réglementaire sur les
projets susvisés en ce qui concerne la partie des lignes dans le Département
de la Seine
Article 2. - En conséquence les pièces de ce projets seront déposés en ce
qui concerne l'embranchement de Saint Denis à Écouen aux mairies de Saint
Denis, la Villette et d'Aubervilliers, en ce qui concerne l'embranchement de
Saint Denis à Taverny aux mairies Épinay, de Saint Ouen, de Villetaneuse et
d'Aubervilliers pour être tenues à la disposition du public pendant un mois à
partir du 10 août 1900.
Il sera ouvert en même temps des registres sur lesquels les intéressés
pourront consigner leurs observations.
Des procès-verbaux constateront l'ouverture et la clôture de ce registre.
À l'expiration du délai fixé pour la clôture de l'enquête le maire devra
soumettre le résultat de l'instruction au Conseil municipal et renvoyer le
dossier de l'affaire à la Préfecture en ayant soin d'y joindre deux copies de
la délibération qui aura été prise.
Article 3. - Immédiatement après la clôture de l'enquête, toutes les pièces
seront soumises à l'examen d'une Commission
Suivent les noms des membres de la Commission.
Archives municipales d'Épinay
Le
22 août 1900, le Préfet de la Seine écrit au Maire d'Épinay suite à
plusieurs demandes de maires qui l'on consulté sur le point de savoir à qui
appartient le droit de surveiller l'exécution des travaux de construction et
d'entretien des lignes de tramways dans la banlieue.
Il précise que le cahier des charges des lignes de tramways, publié intégralement
par le Journal Officiel, détermine les conditions de la pose des voies et de
l'exécution des revêtements de chaussée entre les rails et sur une largeur de
0,55 m. en dehors des rails extérieurs (art. 6,
9).
Lorsque la voie ferrée est établie dans une voie urbaine, le service préfectoral
du Contrôle exerce sa surveillance que sur l'exécution de la voie ferrée
proprement dite.
Les questions relatives au revêtement de la chaussée (pavage, empierrement...)
doivent être traitées directement entre la Compagnie concessionnaire et la
Municipalité, seule chargée de veiller à la chaussée et à qui incombe le
soin de faire observer sur ce point, les clauses du cahier de charges et les décisions
préfectorales.
Au terme de l'article 12 sur les sections où la voie ferrée est accessible aux
voitures, l'entretien à la charge des compagnies comprend le pavage entre rails
et de l'entre-voie ; ainsi que les zones de 0,55 m. extérieur aux rails.
Archives municipales d'Épinay
Le
25 septembre 1900, un Conseiller municipal de Saint Gratien écrit au Maire
d'Enghien-les-Bains pour l'informer avec d'autres signataires que par suite à
l'établissement du terminus du nouveau tramway d'Enghien à la Trinité
(boulevard d'Argenteuil), la rue du Moulin, privée de toute surveillance de
police sert de buen retiro à toutes les personnes qui attendent le départ du
tramway et ont un besoin à satisfaire, cela au grand détriment de l'hygiène
et de la morale publiques.
Ce Conseiller municipal est persuadé qu'il y a urgence à agir immédiatement
et que le Maire voudra bien prendre en considération la présente requête et
que des vespasiennes seront établies pour faire cesser un pareil état de
choses.
Suivent les noms, adresses et signatures des pétitionnaires.
Archives municipales d'Épinay
Le 25 septembre 1900, idem à la précédente.
Archives municipales d'Épinay
Le 11 novembre 1900, le Conseil municipal d'Enghien-les-Bains, vu
la pétition des habitants de la rue du Moulin et du boulevard d'Enghien tendant
à l'établissement de vespasiennes au point terminus du tramway d'Enghien à la
Trinité, cet endroit servant de refuge à tous les voyageurs ;
considérant que le point terminus se trouve sur le territoire Épinay, commune
de la Seine ;
ouï le rapport de la commission de la voirie ;
délibère :
La pétition des
habitants du boulevard d'Enghien (boulevard d'Argenteuil) et de la rue du Moulin
sera adressée à M. le Préfet de Police en le priant de vouloir bien faire
prescrire les mesures nécessaires pour faire cesser cet état de choses.
Archives municipales d'Épinay
arrête :
Article premier. - Il sera procédé à l'enquête réglementaire
du projet susvisé.
Article 2. - En conséquence les pièces de ce projets seront déposées aux
mairies d'Asnières d'Épinay, de Gennevilliers, de l'Ile-Saint-Denis et de
Saint Ouen pour être tenues à la disposition du public pendant un mois à
partir du 24 novembre 1900.
Il sera ouvert en même temps des registres sur lesquels les intéressés
pourront consigner leurs observations.
Des procès-verbaux constateront l'ouverture et la clôture de ce registre.
À l'expiration du délai fixé pour la clôture de l'enquête le maire devra
soumettre le résultat de l'instruction au Conseil municipal et renvoyer le
dossier de l'affaire à la Préfecture en ayant soin d'y joindre deux copies de
la délibération qui aura été prise.
Article 3. - Immédiatement après la clôture de l'enquête, toutes les pièces
seront soumises à l'examen d'une Commission.
Suivent les noms des membres de la Commission.
Archives municipales d'Épinay
Le
22 novembre 1900, le Préfet de la Seine adresse au maire d'Épinay ampliation
de l'arrêté par lequel il a prescrit l'ouverture d'une enquête sur un projet
relatif à l'établissement d'une ligne de tramway entre Gennevilliers et
Enghien comme embranchement de la ligne Houilles—Saint Ouen.
Il lui adresse en même temps un dossier destiné à être soumis au public
ainsi que les affiches à placarder.
Aux termes de son arrêté précité l'enquête devra rester ouverte du 24
novembre au 24 décembre 1900 inclusivement.
Il sera ouvert en même temps des registres sur lesquels les intéressés
pourront consigner leurs observations.
Des procès-verbaux constateront l'ouverture et la clôture de ce registre.
À l'expiration du délai fixé pour la clôture de l'enquête le maire devra
soumettre le résultat de l'instruction au Conseil municipal et renvoyer le
dossier de l'affaire à la Préfecture en ayant soin d'y joindre deux copies de
la délibération qui a été prise.
Archives municipales d'Épinay
Le
30 novembre 1900, rapport de l'ingénieur ordinaire relatif à l'établissement
d'une vespasienne au terminus d'Épinay.
Par une délibération en date du 11 novembre 1900, le Conseil municipal
d'Enghien demande que des vespasiennes soit établies eu terminus du tramway d'Épinay
à la Trinité.
L'établissement des vespasiennes est une question municipale et il pense que
cette délibération du Conseil municipal d'Enghien devrait être transmise au
Conseil municipal d'Épinay afin qu'il examine la solution qui doit être donnée.
Archives municipales d'Épinay
Année 1901
Le
4 janvier 1901, formulaire d'invitation à la séance ayant pour objet l'examen
du projet d'embranchement de la ligne de tramway Enghien—Gennevilliers.
Archives municipales d'Épinay
Le
17 janvier 1901, Le Préfet adresse au maire d'Épinay 15 exemplaires d'un avis
relatif aux mesures à prendre dans le cas d'accident occasionné par la chute
ou le contact d'un fil électrique. Il conviendrait qu'une partie de ces
affiches à placarder le fussent aux abords des arrêts de tramways et sur les
poteaux de trolley.
Archives municipales d'Épinay
Le
25 janvier 1901, le Préfet réclame, dans les plus brefs délais, au Maire d'Épinay
le dossier d'enquête au sujet de l'établissement d'une ligne de tramways entre
Enghien et Gennevilliers, ainsi que la délibération de son Conseil municipal,
l'enquête étant close depuis le 24 décembre 1900.
Archives municipales d'Épinay
Le
3 février 1901, délibération du Conseil municipal donnant son avis sur l'enquête
relative à l'établissement d'une ligne de
tramways entre Enghien et Gennevilliers.
Vu l'arrêté de M. le Préfet du 20 Novembre 1900 ordonnant une enquête sur le
projet d'établissement d'une ligne de tramways entre Enghien et Gennevilliers,
formant embranchement de la ligne Houilles—Saint Ouen,
vu le résultat de l'enquête close le 24 décembre 1900,
vu les diverses pièces de l'enquête
délibère :
Donne un avis entièrement favorable à l'établissement de ladite ligne de
tramways aux conditions suivantes :
-1. Emprunter le trottoir libre de la Route nationale n°14 entre le Cygne
d'Enghien et la Route départementale n°9 sur lequel la compagnie
concessionnaire ne pourra établir qu'une seule voie.
-2. Pour la partie de la Route départementale n°9 comprise entre la RN n°14
et le premier pont sur la Seine, établir la voie sur l'axe de la route.
En outre la compagnie concessionnaire devra s'engager à faire le transport des
écoliers à prix réduit pendant la mauvaise saison.
Et prie l'Administration supérieure d'intervenir pour que la ligne une fois
installée, les deux compagnies (Nord et Nord-Ouest parisiens) s'entendent pour
que tous leurs trains montant prennent un même côté de la route et ceux
descendant l'autre côté, et que la ligne double Trinité—Épinay, installée
irrégulièrement soit supprimée, de sorte qu'il n'existe plus qu'une seule
ligne de chaque côté de la Route nationale n°14.
L'Administration supérieure est priée de voir s'il n'y aurait aucun moyen
d'imposer aux compagnies concessionnaires de des deux lignes, l'éclairage de
leurs voies par des lampes à incandescence sur les poteaux.
Archives municipales d'Épinay
Le 25 février 1901, la
Compagnie Lumière Force par l'Électricité écrit au Maire d'Épinay au
sujet de sa demande auprès des T.M.E.P. d'obtenir l'éclairage électrique.
Elle n'est pas en mesure de faire des propositions fermes à ce jour aussi le
prie-t-elle de bien vouloir attendre quelque temps en vue de pouvoir lui offrir
une combinaison avantageuse pour les administrés.
Archives municipales d'Épinay
Le
4 mars 1901, rectification de délibération portant avis sur l'enquête
relative à l'établissement d'une ligne de tramways entre Enghien et
Gennevilliers.
Le Conseil, vu
l'arrêté de M. le Préfet du 20 Novembre 1900 ordonnant une enquête sur le
projet d'établissement d'une ligne de tramways entre Enghien et Gennevilliers,
formant embranchement de la ligne Houilles—Saint Ouen,
vu le résultat de l'enquête close le 24 décembre 1900,
vu les diverses pièces de l'enquête
délibère :
Donne une avis entièrement favorable
à l'établissement de ladite ligne de tramways aux
conditions suivantes :
-1. Emprunter les voies existantes de la ligne Trinité—Épinay.
-2. Pour la partie de la Route départementale n°9 comprise entre la RN n°14
et le premier pont sur la Seine, établir la voie sur l'axe de la route.
En outre la compagnie concessionnaire devra s'engager à faire le transport des
écoliers à prix réduit pendant la mauvaise saison.
L'Administration supérieure est priée de voir s'il n'y aurait aucun moyen
d'imposer aux compagnies concessionnaires de des deux lignes, l'éclairage de
leurs voies par des lampes à incandescence sur les poteaux.
Archives municipales d'Épinay
L'extrait du 20 mars 1901 chapitre 7 écoulement des eaux sous le voie publique, branchements d'égouts, conduite d'eau et de gaz.
Le 10 avril 1901, le Préfet
écrit au Maire d'Épinay au sujet de l'éclairage des poteaux de trolley par la
Compagnie concessionnaire.
Il lui fait connaître que le cahier des charges régissant les lignes de
tramway du département ne contiennent pas de clause imposant aux compagnies l'éclairage
des voies empruntées et que dans ces conditions il n'est pas possible à son
Administration de prendre la mesure réclamé par le conseil municipal.
Il lui fait remarque que toutefois les communes qui désirent bénéficier de l'éclairage,
elle peuvent l'obtenir auprès des compagnies de tramways en payant le prix du
secteur parisien le plus voisin.
Archives municipales d'Épinay
Le 31 août 1901, la
Compagnie des Tramways Électriques Nord Parisiens (T.N.) remercie le Maire d'Épinay
pour l'autorisation qu'il a donnée d'établir un garage sur la ligne Épinay—Trinité
à proximité de la rue Caquineau.
Elle lui remet un plan dressé dans les conditions acceptées pour apposition de
a signature avant transmission au Service du contrôle.
La Compagnie consent en outre une subvention pour venir en aide aux enfants
pauvres qui fréquentent les maisons d'enseignement de la ville.
Elle tiendra à disposition de la Maire des billets à plein tarif qui seront
distribués par le soins de la Municipalité. Elle s'engage en outre à allouer
une somme dont l'importance sera équivalente à la moitié de la valeur des
billets dont le remboursement lui aura été effectué.
Archives municipales d'Épinay
Le 7 septembre 1901, le
Préfet de Police informe le Maire d'Épinay que la Compagnie des Tramways Électriques
Nord Parisiens (T.N.) s'est mise en instance auprès de son administration à
l'effet d'être autorisée à installer, au terminus Épinay (ligne Épinay—Trinité)
un barrage composé de cordes maintenues par des piquets.
Cette proposition aurait pour but de canaliser le public aux heures d'affluence,
et de lui faciliter l'accès dans les voitures, tout en supprimant la
distribution du numéro d'ordre qui sont souvent une cause de retard dans le
service.
Il lui demande son avis pour la suite à donner.
Archives municipales d'Épinay
Le 13
septembre 1901, la Compagnie des Tramways Électriques Nord Parisiens (T.N.)
accuse réception de la réponse du Maire d'Épinay à M. le Préfet de Police
au sujet de l'autorisation sollicitée par la Compagnie d'établir un barrage au
terminus d'Enghien afin de canaliser le public aux heures d'affluence, et de lui
faciliter l'accès dans les voitures, tout en supprimant la distribution de
billets.
Archives municipales d'Épinay
Le 18
septembre 1901, le Préfet de Police autorise à titre provisoire à établir un
barrage au terminus d'Enghien.
Archives municipales d'Épinay
Notes
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Sources :
Sites :
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