Le chemin de fer et la littérature
Maxime DUCAMP
Les chants modernes
J’ai bien couru depuis l’aurore,
J’ai galopé jusqu’à la nuit ;
De mes rudes flancs, chaud encore
De tout le feu que je dévore,
J’entends la vapeur qui s’enfuit
Et qui s’éparpille à grand bruit.
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