Le chemin de fer et la littérature
Guillaume APOLLINAIRE
Poèmes de la paix et de la guerre : La victoire (1913-1916)
« Ô mon amie hâte toi. Crains qu’un jour un train ne t’émeuve plus !
Regarde le plus vite pour toi
Ces chemins de fer qui circulent
Sortiront bientôt de la vie
Ils seront beaux et ridicules ».
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