Édito

Jean-Jack Gardais, Président

Cela fait bientôt un an que j’ai accepté de devenir le 4ème président de Sequana. 

Le contexte n’était pas spécialement joyeux, le moral des troupes s’était néanmoins déjà amélioré, une fois passé le choc émotionnel provoqué par une position de la Ville fi n 2014 vis-à-vis de Sequana, position que nous ne comprenons toujours pas à ce jour. 

Ce que je savais néanmoins, ainsi que beaucoup de bénévoles autour de moi, c’est que nous voulions que Sequana vive et vive de préférence à Chatou, son berceau naturel. 

Aujourd’hui, le moral est solide, les yeux sont rivés sur l’horizon, les programmes sont très chargés en chantiers et en événements. 

Groupés et solidaires, nous n’avons pas perdu notre temps : • Constituer un conseil impliqué, actif, ouvert à de nouvelles perspectives et lancer des groupes de travail spécialisés :

ur la question de notre situation vis à vis de la Ville, nous n’avons pas terminé de la traiter devant la Justice ; je rappelle que notre décision de nous engager dans ces procédures, prise début 2015, était et reste légitime du point de vue de la défense de l’association, mais il nous tarde d’arriver au terme de ces procédures et de retrouver des relations constructives avec la Ville, avec laquelle nous partageons un pan entier de l’histoire de Chatou. 

Je ne voudrais pas terminer sans évoquer la mémoire de ceux qui nous ont quittés. Qu’ils veillent sur nous, nous ne les oublierons pas. 

Après cette période délicate de la vie de l’association, je remercie bien sincèrement tous ceux et celles qui oeuvrent pour que Sequana vive, ainsi que les membres et les supporters, anciens et nouveaux, qui nous ont soutenus pour que Sequana reste Sequana. 

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