L'Association

Exploitation et essais du mercredi 4 septembre 2024

MAD

Michel G. allume la Vincent pour essai en ligne du fonctionnement des injecteurs, ceci me fait penser qu'il serait bon que j'allume la Jeanne pour voir si tout fonctionne bien (injecteur et pompe) ce que je fais juste avant le repas de midi.

Je sors les machines du dépôt et stationne la Jeanne sur la voie 9 pour remplir la chaudière, que je vide entre deux circulations espacées.

Pour l'allumage, prélèvement de bois dans le foyer de la Vincent et il n'y a plus qu'à alimenter. Je saute le repas et lorsque les autres reviennent du réfectoire, les deux machines sont bien avancées.
Remplissage de la soute à eau, additif de produit anti-calcaire, graissage, essai des injecteur et de la pompe. Tout à l'air de fonctionner malgré les fuites de la robinetterie d'origine.
L'heure du départ n'a pas encore sonné, il reste au moins 45 minutes avant le départ du train régulier. Entre temps François arrive, il revient de vacances et propose son aide, il suppléera le régulier assuré par la Vincent à titre d'essai.

 

 

 

 

 


Nous allons chercher le tender des "Coucous"1 et prenons le tuyau en pour refaire le plein d'eau en ligne.
Je profite du temps qui reste pour photographier les points à revoir essentiellement les fuites de robinet, le remplacement de tuyauterie souple, etc.

1 "Coucou" ou "Bouteille à encre" était le nom familier donné aux locomotives à chaudière verticale qui travaillaient dans les usines, entrepôts, carrières, etc. à la manœuvre des wagons avant l'utilisation des locotracteurs. Ces locomotives étaient de faible puissance mais elles avaient la vertu d'être au timbre bien plus rapidement que les locomotives à chaudière tubulaire horizontale. De tous écartements, elles ont disparu avec l'apparition de la traction diesel.


L'injecteur gauche de la Vincent fonctionne capricieusement mais celui de droite ne veut rien savoir, impossible de le mettre en route et la pompe Worthington n'est pas raccordée, il manque la vanne d'arrêt entre le clapet anti-retour et la chaudière.


La Vincent fait le plein d'eau. C'est Jean-Paul qui sera chef de train et Lemziti est venu passer un moment avec nous, il ne restera pas grand monde au dépôt aujourd'hui.
Michel G. et Philippe D. assureront le train régulier et François prendra l'e0B0-02 en cas de ...


Pierre et Jean Claude, mes vieux complices, m'accompagneront sur la Jeanne et comme l'heure arrive, nous quittons le dépôt.


Nous attendons 15h00, l'heure du départ.
Sur le quai, Lemziti, Jean-Claude et Jean-Paul.


Michel G. et Philippe D. sont prêts, il y a de l'eau dans le tube, la pression est au timbre, tout va bien.


Arrivée à La Ferme sans encombre.
François suit le train régulier.


Arrivée aux Fiancés, le régulier est en gare, nous stationnons sur l'autre voie.


Petite vidéo d'un faux départ. C'est Pierre et Jean-Claude qui manœuvrent.


Arrivée aux Vallons. Pas d'injection possible sur la Vincent, c'est l'e0B0-02 qui prend finalement le
relais, la Vincent rentrera au dépôt haut-le-pied.


Rive de Seine, le retour.


Nous suivrons le train régulier jusqu'à L'Étang où nous attendrons son retour, nous le suivrons jusqu'à B-7 et rentrerons au dépôt.

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